Partenariat entre la Fondation Leclerc et le Musée de Pont-Aven : l'art comme vecteur d'image et d'activité économique
La Fondation Leclerc de Landerneau a cinq ans et une dizaine d'expositions à son actif, elle devrait cette année franchir le cap des 200.000 visiteurs
C'est une fondation qui n'est ni patrimoniale, ni économique. Notre seul objectif : attirer le meilleur de l'Art en Bretagne.
J'étais hier à Pont-Aven, une petite ville qui a façonné l'histoire de l'Art (120 peintres s'y sont rendus à la fin du XIXème siècle, dont Paul Gauguin !), pour sceller un partenariat entre la fondation Leclerc et le Musée de Pont-Aven : nous allons coordonner nos expositions et renvoyer chaque visiteur de l'un vers l'autre.
Ce partenariat est intéressant car il créé une synergie entre initiative privée et publique, ce qui était encore impossible il y a 10 ans.
Les 120.000 visiteurs de Pont-Aven et les 200.000 de Landerneau montrent qu'investir dans la culture génère des emplois, un flux touristique, et irrigue la vie locale. La culture peut ainsi être un moteur pour des villes de moins de 20.000 habitants : un investissement profitant à l'image régionale et à l'attractivité économique locale.
De haut en bas : Estelle Guille des Buttes (directrice du Musée de Pont-Aven), Laetitia Boidin (adjointe à la culture de Concarneau), Louis-Marie Le Breton (président de la Société des amis du Musée de Pont-Aven), André Fidelin (président de la CCA de Concarneau), Benoît Bellec (DGS de la CCA de Concarneau) et moi ! ?
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Paul