CULTURE Prix Landerneau

Qui veut le Goncourt doit passer par Landerneau...

Ce fut une belle satisfaction d’apprendre il y a quelques jours le nom du lauréat du Prix Goncourt du Premier Roman. Le lauréat s’appelle Alexandre Postel et son roman, « Un homme effacé » (Gallimard).

Dans le petit milieu de l’édition, mais aussi dans le grand public, le Goncourt est considéré comme une référence majeure (ce qui n’enlève rien au talent des auteurs qui n’ont jamais été récompensés), alors je n’allais pas bouder mon plaisir.

Les lecteurs attentifs de ce blog auront tout de suite fait le lien avec mon billet du 21 février 2013. En effet, Alexandre Postel venait de recevoir le Prix Landerneau du premier roman et je vous relatais son talent narratif et son imagination trépidante.

Depuis le 5 mars dernier, avec ce Prix Goncourt du premier roman qui lui a été décerné, Alexandre Postel est donc désormais doublement talentueux !

En 2009, Jérôme Ferrari avait reçu lui aussi le Prix Landerneau pour son roman « Un Dieu un animal » (Actes Sud), avant que, trois ans plus tard, là encore, l’Académie Goncourt ne le récompense.

Un constat s’impose, évident. Les libraires des Espaces Culturels E.Leclerc ont un sacré pif pour débusquer les belles plumes.

2 Commentaires

Salut Mel!
Est-il possible d'avoir un commentaire d'Alexandre Postel? Le gain d'un prix est souvent le fruit d'un travail personnel et technique. Peut être qu'il pourra nous dire un petit mot sur ce sujet...
Salut Mel!
Est-il possible d'avoir un commentaire d'Alexandre Postel? Le gain d'un prix est souvent le fruit d'un travail personnel et technique. Peut être qu'il pourra nous dire un petit mot sur ce sujet...

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