ÉCONOMIE Développement durable

Bois exotique : Le scandale du bois illégal

Long coup de téléphone, hier, d’un de nos collaborateurs chargé de sélectionner les articles pour le catalogue de « plein air » (printemps 2006). Il m’entretenait des difficultés d’obtenir des certificats loyaux et précis sur l’origine des bois exotiques rentrant dans la fabrication des meubles de jardin. Et pestait contre l'inertie des administrations des pays exportateurs et importateurs alors qu’elles sont plus à même de contrôler la légalité des filières que les acheteurs de Castorama ou de Monsieur Meuble basés à Bordeaux ou à Clermont. 1) La problématique : Avec la Grande-Bretagne, la France est le plus gros importateur de bois tropicaux d’Europe (dont un quart destiné aux marchés publics). Or, selon Greenpeace, la moitié du bois négocié dans le monde provient de sources illégales ou de forêts surexploitées. Des forêts primitives qui ne se renouvellent pas : désastre écologique, contrebande, privation de ressources pour la population autochtone. 2) Les alternatives : Greenpeace, Robin des Bois, et WWF proposent qu’on favorise le label FSC (Forest Stewardship Council) qui certifie les bonnes pratiques forestières. Mais seulement 4 % de la forêt mondiale en est digne. Boycotter les 96 % restants ? …J’ai accompagné, l’année dernière, au Vietnam, en Chine et en Malaisie, une mission d’exploration pour étudier l’idée de boycott sélectif. Vu les dizaines de milliers de personnes qui vivent de cette filière, c’est, pour moi, complètement exclu. Nos acheteurs ont proposé la politique suivante : a) Refus d’achat de bois illégaux. Exigence d’un certificat d’origine. b) Diminution d’articles en bois « menacés » (teck). Recherche de bois de substitution : nouvelles sources d’approvisionnement provenant de forêts contrôlées (pays de l’Est et du Nord). Remplacement du bois par d’autres matériaux (fonte, grès, etc…). 3) Les contrôles : Pour garantir la qualité écologique de cette offre, notre enseigne a adhéré au « Tropical Forest Trust », une ONG regroupant plusieurs acteurs mondiaux de la filière bois, engagée dans le développement durable. TFT assiste nos acheteurs (contrôle des sources légales) et oriente nos fournisseurs vers les forêts bien gérées ; l’objectif étant de développer les aires labellisées FSC. Notre enseigne est la première chaîne française d’hypers à avoir adhéré au TFT, mais déjà y travaillent des spécialistes parmi lesquels Castorama et GP DECORS. TFT nous a beaucoup aidés pour la confection du catalogue 2005. 4) Les Administrations, l’Etat, l’UE… La difficulté majeure, quand on est bien intentionné et motivé, c’est l’absence de traçabilité dans la filière. Chaque année, les Douanes publient un bilan des saisies pour contrefaçon (textile, montres, luxe…). Mais pour le bois, rien n’est encore fait. L’importation illégale n’est pas reconnue comme un délit. Le thème fait toujours débat au sein de l’UE alors qu’au sommet de Johannesburg (2002), nos représentants s’étaient engagés à sanctionner les mauvaises pratiques. Promesse non tenue… Pas facile alors pour nos cadres et les ONG, de trier le bon grain de l’ivraie ! C’est aussi la raison pour laquelle Sébastien Risso de Greenpeace affirme : « Tant qu’ils ne prendront pas des mesures correctives, la Commission et les Etats membres resteront complices de la destruction des dernières forêts anciennes de la planète ». (Libé 8/07)

18 Commentaires

Cher MEL,
Il faudrait que tu penses à mettre des liens directs vers les organisations que tu cites dans tes notes (soit directement dans le texte, soit à coté). Certes, je chipote...
Je t'ai laissé un mail hier, j'espère que tu l'as reçu.
@+
Qu'attendent les ONG des administrations ?
Je suppose que les problèmes rencontrés pour le contrôle du bois sont les mêmes que ceux pour les conditions de travail décrites dans des précédentes notes. Pourtant il me parait vu d'ici si simple et évidant de comprendre que si tous les arbres sont abbatu d'un coup il ne restera plus rien à abatre dans le futur puisque les arbres n'auront pas eu le temps de se dévelloper et de se reproduire.
bonjour à tous
comme dans l'ensemble des problemes lies au developpement durable, les états démontrent vite leur incapacité à agir efficacement.
pressions politiques et economiques engendrent l'inertie.
les ONG ne peuvent que remplir leur rôle : alerter l'opinion et faire du contre lobbying
or le citoyen demande plus encore
c'est pourquoi la sphère économique doit jouer à ce jeu, et accepter le triptyque "People, profit, Planet" qui définit le developpement durable. Vous etes en première ligne.
votre action se heurte à des freins culturels énormes, mais il faut poursuivre, et expliquer.
soyez sur que l'ensemble des conso-acteurs vous suivront.
bon courage !
Bonjour,
Avec toutes ces opérations de déforestations, il faudra s'attaquer au problème à un moment ou à un autre. Nous sommes entrés dans une logique de surconsommation pour un objectif business à tout prix.
Il faudra réagir rapidement pour éviter tout abus et je ne parle pas que du bois.
Il faudrait créer un code "EBP" : "Ecological Best Practices" au niveau mondial.
Didier Masse
Bonjour,
Effectivement il plus que temps de réagir. La déforestation dévaste la terre, elle détruit surtout les peuples qui occupent cette terre ( Amérique centrale, Asie du sud est ). Tout comme le café le bois peut-il être un produit du commerce équitable?
Et une bonne taxe type tabac, essence, alcool.
On paye au nom du droit a la sante.
Il faut que les consomateurs paye au nom de la survie de la planette.
Au moins cette taxe serait juste.on multiplie par 10 le prix, on redristibu et voila.
sa augmenterai un peu le prix de l'"albatros" mais qui s'en formaliserai?
Re à tous
Yannick, vous avez raison. Je n’ai aucun problème pour mettre des liens avec des sites personnels que je connais, mais les organisations sont quelques fois plus tatillonnes. Il me faut leur demander une autorisation. Ça peut vous paraître étonnant. Mais ne l’oubliez pas. Je suis un commerçant. Et même si ce blog est personnel, j’ai rencontré quelques réticences : peur d’une récupération commerciale, réactions diverses de militants qui voient dans cette initiative l’immixtion d’un représentant du grand capital dans la sphère associative… etc.
Donc, je suis prudent, et en tout cas attentif à leurs préoccupations.
Quant à votre question Sébastien, elle nécessiterait moult développements, et surtout, des réponses de la part des ONG elles-mêmes.
Disons simplement que je les regroupe en deux catégories :
1. Les ONG protestataires. Celles-là, souvent de culture latine, restent dans une posture d’interpellation et rechignent à accompagner les entreprises dans le processus d’actions correctives.
2. Les ONG opérationnelles, elles-mêmes gestionnaires ou impliquées dans des actions constructives. Elles prennent le parti de conseiller les entreprises, quitte à imposer leurs exigences de contrôle. C’est le cas de Max Havelaar par exemple. Souvent, ces ONG sont de culture protestante.
Pour répondre à Erosoft, je dirais que sa réflexion est frappée au coin du bon sens. Mais certains états sont dirigés par des élites qui n’ont que faire du développement durable et de la préservation de leurs ressources nationales. C’est ce qui distingue par exemple assez nettement la Malaisie de l’Indonésie. En Malaisie, des programmes de bonne gestion forestière ont été lancés. Et l’origine du bois est mieux contrôlée. Alors qu’il se dit que la moitié du bois exporté d’Indonésie est franchement illégal. Les autorités apparemment ferment les yeux.
Encore merci pour vos encouragements Pierre. Ce n’est qu’un début, continuons le …
Re- tous (8 & 9/08/2005)
Oui, 10:56, le bois peut être un produit du commerce équitable. Je crois que ça existe, même sous forme de produits manufacturés (les jouets et les produits d’artisanat en bois).
Je réponds aussi à Didier Masse : le label existe déjà. TFT garantit les bonnes pratiques forestières. Quant à la taxe proposée par Club des trente, je n’y crois pas. Les gens qui achètent du teck (bois déjà très cher) ne sont pas très sensibles à une variation marginale du prix.
oui ils n'y sont pas sensibles.D'ailleurs ils ne le sont pas plus face a la destruction de la planete ou la misère du monde.
De toute facon lorsque l'offre sera tres reduite les prix augmenterons.Autant les habituer dès maintenant en instaurant un prix equitable qui permettrait de financer l'exploitation ET la sauvegarde des forets.
Re club des trentes (3/09/05)
Le mieux, c’est quand même la substitution des bois menacés par des espèces cultivées, ou tout autre support.
Mercredi, 27 Avril 2005.
Rappel, le 6 Octobre 2005.
S.A.S. Sodiroche
Route de Limoges
16110 La Rochefoucauld
Messieurs,
A titre personnel, j'ai eu le plaisir de faire des achats dans vos magasins Leclerc de
La Rochefoucauld et Bâti-Leclerc.
J'ai observé des articles en bois chaises, fauteuils, bois de lits, meubles de jardin, etc. dont aucun n'avait d'indication d'éco-certification de gestion durable quant à la provenance de la matière première.
Interrogé, votre responsable de rayon était bien en peine de me répondre, et a fini par trouver un organisme inconnu de certification (?) vietnamien pour l'acacia du salon de jardin.
En tant que Secrétaire-Trésorier du Syndicat des Propriétaires Forestiers Sylviculteurs de la Charente, je suis choqué que vous fassiez de la réclame pour des produits certifiés par un organisme strictement inconnu (et à priori non crédible).
Il existe actuellement deux grands systèmes de certification de gestion durable reconnus au niveau mondial : PEFC et FSC.
PEFC (Programme Européen de Forêts Certifiées) est le système mis en place en Poitou-Charentes, auquel j'ai souscrit (ci-jointe ma certification personnelle) et que le Syndicat promeut.
Vous n'êtes pas sans savoir que depuis 1972 (Conférence de Stockholm), à fortiori 1992 (Conférence de Rio), l'Homme a pris conscience que les ressources de la planète ne sont pas inépuisables et qu'il convient de les gérer durablement, tant sur le plan économique,
qu'écologique et environnemental que social.
L'Homme doit respecter et protéger ce patrimoine naturel au profit des générations futures.
Cela s'appelle l'écologie.
Nous empruntons la planète à nos enfants. Dans quel état souhaitons-nous la leur transmettre ?
Pour se faire des règles de gestion ont été définies, mises par écrit, contrôlées par une expertise extérieure : c'est le processus de certification.
La crédibilité écologique est à ce prix, non dans de grandes déclamations.
La production forestière est éco-certifiée, l'exploitation et la transformation sont éco-certifiées, la distribution est certifiée : éco-certifiée ou ISO 14001.
Vous en faites vous-même un argument publicitaire.
Pourquoi alors ne vendez-vous point des produits certifiés, PEFC ou FSC ?
Pourquoi ne privilégiez-vous point des produits picto-charentais éco-certifiés, transformés par des usines charentaises éco-certifiées ?
Nous, producteurs forestiers sylviculteurs, nos coopératives d'exploitation, les industries de transformation ont fait l'effort de cette éco-certification.
Et vous : ne seriez-vous que des écologistes de salon ou de réclame ?
J'espère que vous modifierez votre politique d'achats et que j'aurai la joie de trouver (et d'acheter) des produits éco-certifiés, prochainement dans vos rayons.
Je porte à votre connaissance qu'un gros effort de plantations d'acacias est en cours en Charente afin de produire des sciages de ce bois imputrescible pour des utilisations extérieures.
Pourquoi dans ce cas commercialiser des bois exotiques, dont souvent l'exploitation détruit les forêts tropicales sans pérenniser les peuplements et en dehors de toute gestion respectueuse de l'environnement ?
A mon courrier du 27 Avril dernier, vous n'avez pas daigné répondre :
POURQUOI ?
Souhaitez-vous que je fasse une annonce de vos pratiques à notre prochaine Assemblée Générale devant tous nos adhérents ?
En vous demandant de bien vouloir faire réponse et au plaisir futur de trouver de tels produits dans vos rayons, je vous prie de croire, Messieurs, à l'assurance de mes salutations respectueuses.
P. LANDRÉ
L'Age Ballot – 16230 Sainte Colombe
Re LANDRE (07/10/05)
Votre intervention est intéressante. Je ne crois pas qu’elle contredise les propos tenus sur ce blog, ni les pratiques que je préconise dans mon groupe.
1) Entièrement d’accord sur la nécessité de « respecter et protéger le patrimoine naturel ».
2) D’accord aussi pour promouvoir les processus de certification.
3) Nous commercialisons des produits de la région Poitou-Charentes. Y compris de vos adhérents, forestiers-sylviculteurs.
4) Je fais la promotion du label FSC.
5) Mais ce label n’a certifié que 1 % de l’approvisionnement en bois de la planète. Il est, de par ses contraintes, long à obtenir. Et sa vérification nécessite un énorme délai.
6) C’est la raison pour laquelle nous soutenons l’action de TFT. Désolé que vous ne connaissiez pas cette importante association dont l’action est reconnue au niveau mondial, y compris par les ONG. TFT est l’antichambre du label FSC.
Excusez-moi, enfin, de vous tirer les oreilles. Comme beaucoup de blogueurs impatients, vous avez déposé, ici, quelques remontrances. Mais vous n’avez pas lu mes notes précédentes (4/08/05 - Bois exotique : le scandale du bois illégal). Je ne pense pas que nous ayons des positions si éloignées les uns des autres.
Je suis d'accord avec la protection des forets tropicaux et autres, seulement je suis un peu scandalisé de la façon dont les occidentaux, qui après avoir massacré leur propre nature à des fins mercantiles, prétendent imposer aux pays pauvres des restrictions, voir des interdictions d'exploiter à leur tour leurs richesses forestières et cela sans contreparties. Si l'Afrique et l'Amérique du Sud doivent jouer le rôle de poumon de l'humanité, il est normal que les pays polueurs payent des "quotas carbone" aux pays tropicaux qui ont des forets afin de leurs permettre de se développer sans toucher à leur capital forestier.
Réponse à Stordiau 1967 (19/12/2005)
Entièrement d’accord avec vous. Nous n’avons pas de leçon de morale à donner aux Africains ou aux Américains du Sud. En revanche, la labellisation des bonnes pratiques de gestion forestière devrait leur permettre d’accroître leurs revenus tout en entretenant leur patrimoine.
Il ne s’agit pas de leur imposer ces pratiques. C’est à eux de se doter d’une telle politique de valorisation de leurs ressources. Et c’est à nous, pays occidentaux, de leur garantir, au sein des instances internationales, la prohibition des mauvaises pratiques et la reconnaissance de leur label.
Oui, mais 2 séries de questions se posent :
1°)Concernant "la bonne pratique forestière"
- Ne conduit-elle pas à la destruction de la bio diversité qui est la véritable richesse des forets primaires par le fait qu'on éradique les espèces "sans valeur" pour les remplacés par des espèces commerciales (en référence :les plantations de Teck que l'on présente souvent en exemple). C'est d'ailleur ce qui est arrivé à nos forets occidentales après plusieurs siècles de cette sois disante bonne gestion forestière.
- La bonne pratique ne serait-elle pas tous simplement de ne pas devoir y toucher ? ou alors de le faire par des moyens non destructifs comme par dirigeables, car ce n'est pas l'abbatage d'un arbre tous les 100 Hectares qui détruit la fôret tropicale, mais les chemins d'accès aux engins et véhicules de transport.
- C'est aussi la destruction par les cultures faites sur "brulis" ainsi que les grandes plantations et élevages
C'est le fait que l'homme prend de plus en plus de place individuellement et par le nombre explosif de population (nous ne sommes pas en reste)
2°) Qui payera le cout d'une bonne pratique forestière en milieu tropical ?, qui aideras les populations locales à pouvoir se reconvertir dans une activité non destructive pour la foret ?
Les grands polueurs devraient le faire, principalement par le biais d'une bourse au carbone équitable et juste.
Je ne pense pas que seul le "bâton" puisse sauver la fôret tropicale. Si on veut la sauver, il faudra à mon avis "mettre la main au portefeuil" et donner à ces hommes, femmes et enfants un autre mode et règle de vie.
Après tout, régulièrement des bâtiments sont déclarés "patrimoine de l'humanité" et on trouve normal de payer pour leur entretiens, les fôret tropicales seraient -elles moins importantes ?
Cher MEL, merci de vous faire l'écho de nos préoccupations pour l'environnement.
je suis etonné que dans le paragraphe introductif de votre texte, vous rejetiez "la faute" sur les administrations des pays importateurs et exportateurs... Connaissez vous donc si mal la filière d'importation des meubles que vous vendez ?
Je ne suis pas sûr que vous ayez vous, personnellemnt, le temps de connaitre le détail des conditions d'achats de vos produits sur le terrain, mais vos collobarateurs doivent le savoir, c'est leur métier. Vous disent t'ils tout, ou sont ils simplement coincés entre la nécessité de faire une marge, et celle de faire plaisir à leur patron ?
Laisser moi vous porter un témoignage d'écologue de terrain (j'habite à 10 mois usr 12 à surabaya)...
Bien avant les pouvoirs publics des differents pays, il y a 2 catégories de fautifs :
1) le consommateur (moi, et d'autres) qui veut une chaise en teck à moins de 100 euros
2) la centrale d'achat de castorama ou de leclerc ou carrefour ou auchan... en achetant la même chaise à moins de 35 dollars en Indonésie !
Or en indonésie, il y a des chaises qui sont produites à 5O dollars, et d'autres à 35... Comme par hasard, celles à 50 dollars ont les certicficats loyaux dont vous parlez... Or iil faut savoir que lex 35 dolars ne payent même pas le prix légal du bois sur pied... Il y a donc un problème, me suivez vous ?
Arrêtez d'acheter vos chaises à 35 dollars, et vos fournisseurs pourront vous les fournir avec la garantie que le bois a été acheté légalement...
Mais peut être alors perdrez vous ma clientèle de consommateur français qui n'a pas envie d'acheter une chaise de jardin à un prix double ?
Ou alors, acceptez que les marges sur vos chaises soit inférieures... Mais est ce l'intérêt de vos collaborateurs ?
Ou encore, affichez dans vos magasins pourquoi vous doublez les prix de vos produits... faites de l'information et de la formation, en espérant que le consommateur comme moi fera le pas ?
et bien pour être totallement honnête, j'ai beau être dévoué depuis 20 ans corps et âme à l'écologie, mons budget personnel est néanmoins limité. Je n'achèterai pas une chaise de jardin à 200 euros. CQFD
Arrêtons de parler de la difficulté d'obtenir les certificats ! Proposez moi 2 chaises dans le magasin, une à 200 euros, avec tous les certificats, et une à 100 euros, sans. Je suis adulte, pas totalement idiot, et j'achèerais donc en connaissance de cause. pas besoin de discours lénifiant !
En attendant de grater sur d'autres points (j'ai relevé bon nombre d'inexactitudes dans votre texte), je vous salue bien,
Votre dévoué Pullex irritans
L'acacia peut-il remplacé avantageusement le teck ou l'ipé si oui pourquoi n'est-il pas utilisé pour faire des caillebotis ?

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