ÉCONOMIE Développement durable

Nitrates en Bretagne : Nettoyage des algues vertes… Avant le lavage des cerveaux ?

img_blog_070806_algues © AFP L’une des théories à la mode concernant l’avenir du capitalisme, c’est « la création de valeur par destruction de valeur ». Ce qui se passe en Bretagne avec l’épandage excessif des lisiers et le retraitement des algues vertes, semble donner raison à nos gourous ! Jugez-en. Cela se passe dans la baie de Saint Michel en Grève. Conséquence de la concentration des élevages porcins et, (jusqu’à une période récente de l’épandage sauvage et disproportionné des lisiers), le nitrate a fini par polluer la nappe phréatique, mais aussi les cours d’eau et le bord de mer, s’invitant dans les élevages de coquilles Saint-Jacques et sur les plages, sous forme d’algues vertes qui prolifèrent depuis plus de 10 ans. A marée basse, les plages de Plestin les Grèves sont littéralement recouvertes d’un tapis vert, très odoriférant en cas d’élévation de température. (Ne souriez pas, il a fait très chaud en Bretagne ces 15 derniers jours !). Une centaine de communes sont concernées. Elles tentent de ramasser les quelques 70 000 m3 d’algues qu’il leur faut épandre (répandre !) à l’intérieur des terres, dans des trappes constituées par des carrières, des anciennes décharges etc. Les agriculteurs ont longtemps été imperméables à la pression des écologistes qui dénonçaient, un peu trop systématiquement il est vrai, l’activité des éleveurs, sans même leur proposer d’alternative. Le syndicalisme agricole s’était enfermé dans une ligne indéfendable du style « le nitrate n’a jamais tué personne ! ». Les mentalités ont évolué. La profession s’est engagée dans un énorme programme d’investissement (stations d’épuration, de décantage, revalorisation (tiens ! tiens !) de cette « matière première » en différents types de compost. Mais le mal a été fait. Et paradoxe, salement, c’est sous une couleur verte qu’il s’affirme. Des élus, ont eu l’idée que la pollution, ça peut aussi rapporter gros. En tout cas, « qu’on peut faire avec ». Ils ont lancé un programme expérimental de lavage et de retraitement des algues vertes, programme réalisé par une société privée qui s’obstine à vouloir traiter les « ulvans », sorte de sucres dont ces algues sont porteuses, capables de modifier les argiles qui rentrent la composition de l’aliment du bétail. Les nano particules de cet argile « améliorent l’action des enzymes » et peuvent « remplacer les antibiotiques facteurs de croissance, interdits depuis janvier 2006 » (Pierre-Yves Tanguy, société Olmix, organisme traitant). Je vous entends. Vous frémissez et faites la fine bouche. Moi aussi. Les plus réalistes (les plus cyniques ?) retiendront que selon le centre d’étude et de valorisation des algues qui pilote cette initiative, outre l’alimentation animale, les propriétés de ces nano particules intéressent l’industrie pour les applications possibles à la matière plastique, à l’emballage alimentaire, et même dans l’automobile (Ouest France du 29/07/06). Les défenseurs de l’environnement commencent maintenant à ruer dans les brancards. Et on les comprend ! On peut effectivement argumenter, en parlant de l’intérêt d’une telle expérimentation. Dans l’absolu, si n’était le contexte, pourquoi pas ? Mais alors que le gouvernement a refusé d’appliquer aux agriculteurs le principe « pollueurs/payeurs » qu’il exige de tout industriel, cette expérimentation s’apparente ici à une provocation. Le programme a été lancé sans qu’aucun discours ne soit venu étayer et crédibiliser une politique de lutte contre la pollution à la source. Difficile d’y voir une intention maligne. Mais les associations écologistes ont quelques bonnes raisons de s’interroger : le CNRS pointe le nez sur ce dossier, financé sur fonds publics. Et fort de la qualité du test (10 à 12 tonnes traitées par jour) le PDG d’Olmix interpelle désormais régions et départements en rappelant que le marché potentiel est immense et que « nos besoins en algues seront énormes ». « Polluez sans gêne, nous traitons la merde pour vous », voilà un modèle économique qui s’est déjà imposé dans toute l’activité du recyclage. Mais les défenseurs de l’environnement, dans cette partie de la Bretagne, contestent sa généralisation. Auraient-ils vraiment tort ?

43 Commentaires

Je comprends à vous lire que vous n'avez pas posez le pied sur les plages de la baie sans doute à cause de l'odeur; car si telle était le cas vous n'auriez pas oublier de parler des mouches qui pondent leurs oeufs dans l'épaisse couche de salade verte et dont on peut voir les asticots grouillant sous les pieds une fois que l'on marche dessus :)
J'avoue qu'à force de les voir toute l'année je m'y suis habitué... je leur attribue un point positif celui de réchauffer l'eau et de lui permettre de passer facilement la barre des 20°!
Chaque commune essaie de trouver une solution au problème, mais si tous les éleveurs ne se responsabilisent pas (ainsi que les particuliers qui ne sont pas ou mal raccordé au tout à l'égout) on ne résoudra rien. Et malheureusement il y a toujours des brebis galeuses qui s'en moquent : je pense à cet éleveur de l'Elorn dont la fosse de lisier à déborder "accidentellement" le mois dernier, mais qui n'a volontairement prévenu personne. Si l'alerte avait été donnée, la pollution aurait été limitée, mais là tout les poissons en aval de l'élévage sont mort...
A Douarnenez, les éleveurs se sont engagés à limiter leurs rejets de juin à septembre, et pdt cette période la quantité d'algue à baissé, mais désormais il y a des algues toute l'année!
Une méthode toute simple à mon avis pour enrayer la marée verte c'est de produire moins de porc et de meilleur qualité, cela diminuerait la production de lisier, et cela permettrait peut-être et enfin d'enrayer les crises porcines des dernières années.
Salut,
Il est difficile de jeter la balle sur les agriculteurs uniquement en affirmant que les pollueurs doivent être aussi les payeurs. Un exemple concret : dans les vignes, un cas de midiou apparaît, le viticulteur fait appel à un technicien pour diagnostiquer la maladie. Ensuite, le viticulteur concerné doit traiter non pas que la superficie malade mais l'intégralité de ses vignes. Une alerte en mairie, sous forme d'affichage, prévient et incite les viticulteurs à traiter leurs vignes pour éviter la propagation de la maladie. Dans le domaine agricole, il en est de même pour les champs de blé, de maïs... Le technicien est envoyé par la coopérative dont dépend le viticulteur ou l'agriculteur. Pour les élevages, le problème est le même. Pourquoi, seuls, les agriculteurs (ou les éleveurs...) sont-ils systématiquement montrés du doigt ? Les coopératives n'achètent qu'avec un cahier des charges strict. Tout est calibré, pesé, avec un pourcentage de teneur en eau, ect... sous peine sinon de ne pas trouver d'acheteurs. C'est ensuite facile d'accuser un seul maillon de cette chaîne alimentaire.
Tchao M.E.L.
J'ai du mal à suivre la logique Flo : le viticulteur ne pollue pas la nappe phréatique en sur-produisant non?
MEL dénonce la sur-production de cochons et ses conséquences écologiques.
Quant aux algues, quand j'étais petit, on me disait que les yaourts en contenaient.
Ca fait froid dans le dos :(
Bonsoir,
Excellents commentaires, dommage qu'ils soient anonymes.
Félicitations quand même. Bien cordialement.
Le Webmaster.
Désolé Gilles
Ce ne sont pas les yaourts mais plutôt les crèmes desserts qui contiennent des algues, ou plutôt des extraits d'algue. Ils servent de gélifiant et on les retrouve dans les flans ou les bonbons.
Merci pour la précision Erosoft...
Quant à savoir si un jour les algues dont parlent MEL atterriront dans mon estomac...
Sinon tollege, les commentaires ne sont pas anonymes car MEL possèdent nos IP (et le lien vers votre site vous démasque de suite, si tant est que vous vous cachiez chez GM)...
Salut,
Les viticulteurs sur-produisent en traitant, je suis d'accord avec vous oui et non. Déjà, on travaille dans un milieu social. Ca, c'est indéniable. Si vos vignes sont malades et que vous ne les traitez pas, cela risque de contaminer les cultures voisines (vignes, rosiers,...). Et vos voisins risquent aussi de s'énerver par votre manque de civisme ; en un mot, ils ne perdront pas leurs récoltes à cause de vous.
Quand aux nitrates de M.E.L., il faut savoir que les nitrates ont la propriété d'être oxydants. Eh oui, ils apportent un peu d'oxygène dont les plantes ont besoin. De plus, les nitrates étant constitués de molécules d'oxygène et de molécules d'azote, l'azote est bon pour la croissance des végétaux. Pas étonnant que lorsque les engrais atteignent les nappes phréatiques, la petite algue verte hiddeuse, certes, odorifante, bien sûr, envahissante en plus, se développe. Si elle intéresse les chercheurs du CNRS, c'est peut-être parce qu'elle a des propriétés biomoléculaires intéressantes. Or les plastiques sont fabriqués à base de polymères dont le groupe d'atomes qui se répètent à l'infini n'est autre qu'un dérivé du propanol (en chimie, de la famille des hydrocarbures). Avec la flambée du prix du pétrole et des matières premières, la mauvaise algue verte nous donne peut-être une chance d'allèger notre facture de pétrole. Bon, il va falloir aussi qu'elle fasse ses preuves dans les labos.
En attendant, je plains les villageois.
Tchao M.E.L. et Tchao Gilles
Florence trop d'algue verte favorise l'eutrophisation du milieu aquatique, plus de di-oxygène, donc plus d'animaux marins.
De plus trop de nitrate dans l'eau est mauvais pour la santé, pas plus de 50mg/L... Si la ville de Plancoët met en avant que son eau n'en contient pas ce n'est pas pour rien
D'acc avec Erosoft.
Et soyons réaliste : je préfère qu'une plante meure par manque de nitrate plutôt que moi par excès de nitrate ;) même si bien sûr les proportions ne sont pas énormes.
Sinon Flo, il existe plusieurs, je ne sais pas combien, méthodes alternatives au pétrole, dont la plus célèbre est le colza, dont le processus est maitrisé, dont l'Allemagne fait grande consommation, dont l'UE demande la promotion et dont le gouvernement français fait l'impasse en punisant sévèrement son utilisation comme carburant. Sans compter les autres méthodes. alors les algues, on va surtout noter son côté polluant et voilà ;)
PS : aparté en parlant de carburant, est-ce que tous les Leclerc vendent sur Gazoil + (sans souffre) ou est-ce une particularité de celui que je fréquente ? Il me semble que la réglementation va changer pour imposer ce carburant so-disant moins polluant.
Autre PS d'aparté : en parlant de pollution, entendu lors d'une conversation : "Leclerc régresse, les batteries (auto), les piles, les balles de plastiques et les cartons finissent à la benne de déchet commun chez nous"
Conclusion : MEL en progrès, adhérent pas encore :P
Monsieur LECLERC,
Je fais partie de ceux qui admirent votre réussite, en prenant à bon escient la suite de votre père, et vos idées me plaisent bien la plupart du temps.
Mais je viens seulement vous informer, et tant pis si je n'ai pas réponse, que mon épouse et moi ne remettrons jamais plus les pieds dans le magasin LECLERC d'Echirolles, dans la zône de Comboire, à côté de Grenoble.
Je n'entrerai pas dans des détails fastidieux mais une fois sur deux, nous avons toujours eu une "embrouille" quelconque avec le personnel. Nous ne sommes pas des mauvais coucheurs, ni des râleurs impénitents, nous sommes respectueux des autres et nous avons plus de cinquante ans. Autant dire que nous ne sommes plus des gamins, ni colériques, ni lunatiques. Mais nous avons remarqué, et même parfois subis, le dédain et l'impolitesse dont fait preuve ce personnel vis-à-vis des clients.
Voilà de quoi ruiner tous vos efforts personnels en ce qui concerne la grande distribution...
Je vous prie de croire, Monsieur LECLERC, en mes salutations les plus distinguées.
Michel PETROCCHI
198, cours de la Libération
38100 GRENOBLE
E-mail : michel.petrocchi@tele2.fr
Salut,
Erosoft, Gilles, certes, les algues sont en peu envahissantes et "étouffent" par une prolifération démente les milieux sous-marins. Mais elles sont là, pourquoi ne pas les exploiter ?
Quelle nappe phréatique n'est-elle pas polluée que ce soit par un excès d'azote ou autres ? Je vous signale que l'eau du robinet, bien que traitée, contient encore du calcaire et autres composants en tout genre. A partir du moment où tout est pollué, en partant des cours d'eau en passant par la couche atmosphérique (trop de métal lourd dans l'air qui provoque le fameux effet de serre, la couche d'ozone qui laisse filtrer les rayons gamas du soleil (le cas alarmant est celui de la Sierra Leone), la radioactivité...) sans oublier le sol et le sous-sol terrestre contaminés par les métaux lourds (cadnium...), je ne pense pas qu'en arrachant cette algue, cela changera la face du monde. Evidemment, la Bretagne est un lieu touristique et cette algue dérange. De surcroît, elle est odorifante. Si vous voulez réellement lutter contre la pollution, êtes-vous prêts à vivre comme l'homme de néandertal ? Parce qu'avec la surpopulation (plus on est de monde, plus on gaspille Dame Nature en surproduisant), les transports modernes (un avion volant en Mach 1 avale une citerne d'au moins 35000 litres de kérozène pour acheminer 300 touristes sur leurs lieux de vacances...), le développement de la radioactivité dans les domaines de l'électricité et du monde médical, les bombes entre Libanais et Israëliens peut-être d'ordre chimiques et qui ne semblent déranger personne...et j'en passe, bien sûr, seule, cette petite algue dérange la population de Plancoët ?
Où la culture intensive de cette algue dérange ? Si ce village de Bretagne ne souhaite pas cultiver cette algue à des fins industriels, alors, il fera tout pour soulever sa population, pour que celle-ci manifeste... et les cultures d'algues iront se faire dans d'autres départements côtiers qui seront contents eux d'avoir quelques créations d'emplois même avec une algue un peu ragoutante.
Tchao M.E.L. et Tchao Erosoft et Gilles
Bonsoir,
Oh si! beaucoup de choses dérangent mais elles ne le sont dérangeantes que si les gens le veulent, sans être veules. Voyez-vous ?
Tchao Florence, Tchao M.E.L.
Tchao bientôt la planète qu'on fera sauter par INTERÊT !
leclerc en bretagne !
mais à une époque les centre leclerc étaient bien dans l'activité ragionale m^me en vendant des figue des dattes et de l'ydromel de la tome de savoie !
surveiller les producteur qu'il ne produise leur chèvre devant les porte du magasin pour voler les jouer et faire les diables est aussi important que de savoir les industrie de l'environnement s'accapare le savoir et faire dem^me pour le raquet, les porc serait des armes des camps d'exterminantion des bons citoyens internationaux dont breton pour des simples dalinaunts de caisse, non de vrai criminel en patin electrique !
le démesure est de mise dans la grande distribution, quand le client se plaint qu'il y a des rats sur la station de tram à l'entrée de l'hyper, c'est la ville ! et quand c'est aussi un signe ennemi et de génocide on ne s'inquiete trop peu de comme est le marché l'évolution, le commerce, la qualité, la réalité de la consommation ses tenant et aboutissant et de son réel controle ! et ses orientations ... ! la sauce italienne n'a pas besoin de fachisme ni de diablerie ! et ce récurament !
donc si l'environnement est une proccupation les système différent de sociét de consommation et d'évolution est donc primordial aussi dans les chambres froide et le fil à couper le fromage !
en grande distribution comme dans la police on surveille ses collègues pour surveiller qu'il n'arrive pas malheur à la société aux sociétés et on vérifie comme un bateau de technique fonctionnel avec escorteur qu'une partie de la clientèle solvable ne se fasse pas massacrer !
le patron !
mais aussi l'éthique, les fonctions engagements préoccupations objectifs !
imaginont que Leclerc DEMANDE à Serge de ne plus vendre d'avions à des pays sociétés solvables totalement, comme en gms avec zones d'exclusions, ... !
DE SERRER LES VENTES !
De plus faire des avions techniques d'environnement ... véritable awacs Technique ! ...comme la qualité dassault, il va dire oui bien sur ! cela s'accompgane de moyens et compétences techniques !
Mais pour ce qui est de la sécurité d'environnement,industrielle et autres,
cessons un langage de très bonne relation ! certains qui ont le savoir, les moyens existent et ce n'est pas fait ! font le raquet et préfèrent tuer les autres "solvable ..." ! il faut donc les exclure et ce définitivement c'est la vie de la société de la gms des patrons des caissières des personnels de sécurité de l'écolier ! de la qualité de sociét et de vie et d'évolution !
certains ne joue plus avec le feu avec l'environnement ce sont des machines à gaz d'extermination faschiste tyranique et haineux ... barbare harceleur jusque dans les hyper et surtout quelles guerre autour dalinaunaces criminalité mondiale etc ... à quelle vitesse et dans quels contextes les véhicules passe aux pompes ! avant que le leclerc passe à l'ennemi récurant dans le temps, ils savent ont restent sévices !
des annannhans de caute d'I-voire !
non ! Couleur !
protection d'environnement de société de projets moderne et civilisé qualifié comme la gms et LECLERC !
surveiller les abattoirs et le façonnage à la viande contre la guerre et les exactions ... ! exiger que son boucher n'est pas un criminel ! c'est un métier ! une vocation ! des épreuves !
mais aussi des objectifs de résultats de construction de société d'investissements dont satellites géographiques ... !
en résumer il n'est pas question de se laisser poluer ni ici ni ailleurs ! et encore moins par des sociéts simplement dangereuses !
et surtout pour des intérêts douteux !
l'environnement n'est pas leurs parterres !
vous avez les coquilles saint jacques eco plus du vietnam mais pas de la baie de saint brieuc ! vous savez pourquoi !
c'est écrit dans leurs regards !
breizh Digabestr ! britany free !
Bonsoir
Bravo à xb, quand c'est bien il faut
le dire. Voici une belle envolée
lyrique. Cordialement.
Salut,
Je retrouve tous les clivages droite/gauche de la Corse. Ces clivages sont poussés à l'extrème dans les départements frontaliers dont la Bretagne fait partie. Le CNRS préconise une issue de secours à cette algue ragoutante poussant à fond la rentabilité, quitte à choquer les moeurs. Le PS bardé d'écolos, riposte : c'est presque un coup à classer certains sites environnants aux communes touchées, au Patrimoine Mondial de l'Unesco pour couper court au problème et pour lutter contre l'extension du phénomène. Et le classement de sites a l'avantage de protéger les terres et les côtes de TOUS mauvais prédateurs. En un mot, bon courage, sincèrement, aux villageois car le combat, dans ce clivage là, sera long et sans merci.
Et quand l'Etat décide sans aucune concertation, alors le pire reste à venir.
Tchao M.E.L.
tollege
merci !
excusez pour l'envoie avant relecture.
il faut encourager Leclerc, Mr leclerc M. pour la qualité de ses services et de souligner encore qu'on ne peut se passer de qualité et de services généraux de sociét générale et de d'autres marques,institutions quand il est question de l'évolution de société, ce se qui se passe réellement hors de la grande distribution et de ses fournisseurs producteurs ! des Strutures des moyens de la qualité et clairement des services de sécurité de hauts niveaux qualifiés solvables avec des moyens !
organisation gestion résultats sécurité propreté satisfaction !
Pour une évolution et orientation correcte !
Salut,
Ca y est, je suis en vacances et je vais vous quitter un petit peu.
Lorsque je rentrerais, les prix des légumes et des fruits augmentant (idem pour le pétrole, les matières premières, bref tout ce qui se rattache à la hausse pétrolière...), le prix des factures de gaz s'envolant, et j'en passe..., les syndicats appeleront certainement à la grève. En un mot, je pars sur fond d'attentats en Grande Bretagne, je reviendrai sous les grèves. Bon, ben, n'ai marre moi. Y a que des méchants.
Bonnes vacances à ceux qui partent,
Bon travail pour les autres.
Au revoir M.E.L. et au revoir Internautes.
Bonsoir
De rien à Xb, c'est tout à fait
naturel.
Merci et bonnes vacances à
Florence.
Tchao à tous.
photo de St Michel: http://www.pbase.com/image/65062349
Florence je campe sur mes positions... Il y a suffisament de variétés d'algues sur les cotes qui pourraient être utilisées dans l'industrie, ces algues se développent sans géner le reste de la faune et de la flore.
Dans la nature il existe peut-être des remedes à découvrir contre des maladies jusqu'à présent incurable, alors pourquoi ne pas y faire attention.
Des groupes de travail alliant le savoir-faire des producteurs et la force de comunication des distributeurs bretons essaient de mettre en place une filière agricole respectueuse de l'environement devant se soumettre à un cahier des charges stricte et produire des aliments de qualité, c'est dommage d'aller leur dire qu'on en a rien à faire de leurs efforts...
Enfin même si les algues pourraient créér de l'emploi par leurs collectes et traitement, elle font fuire beaucoup de touriste et l'économie qui en dépend se ressent un peu...
elle est bien bonne ! Michel Edouard Leclerc qui vient se positionner en donneur de leçon vis à vis des problèmes de pollution agricole. S'est il déjà posé la question de l'origine de cette pollution? En fait les explications sont nombreuses mais l'une des plus évidente est la politique de prix bas menée par les distributeurs qui ont ainsi conduits les filières agricoles françaises à plus de productivisme et donc de pollution.
PRODUIRE PAS CHER, tout le monde sait faire, les agriculteurs français aussi.
PRODUIRE PLUS PROPRE, est plus compliqué surtout quand il faut aussi que ce soit PAS CHER et ça tout le monde s'en fiche.
Aujourd'hui les agriculteurs français et européens continuent leurs efforts en matière de préservation de l'environnement, malheureusement ils y perdent en compétitivité, leur production devient TROP CHER.
Le distributeur part alors s'approvisionner ailleurs, là où le consommateur sera moins regardant sur la couleur des plages du pays, la couleur de l'eau de ses rivières, la taille de ses forêts, mais aussi le salaire de ses salariés agricoles...
Bonjour MEL
C'est dommage, vous avez de bonne idée mais vous les arranger a votre sauce.
Ce qui manque sur ce blog c'est un détracteur crédible.
Certes la pollution est un gros problème et son exploitation aussi.
L'eau est polluer et c'est un énorme problème mais pas un souci pour plein de gens. Les animaux boivent cette eau et nous de moins en moins et si c'est pas un principe de précaution, sa va bientôt arriver. L’ennui c’est que l’on mange ses animaux.
Pour l'environnement pas de réponse ni de solution de la part de Leclerc. Pour l'être humain si, de l'eau en bouteille plastique et attention les yeux moins chère. Mais pas un mot sur sa raréfaction ou futur raréfaction. Pourtant à vous lire avec le pétrole vous avez compris. Par contre exploiter l'eau encore disponible pas de souci et pas un mot sur se quel devient et ceux qui exploite sa dépollution.
Pour le petit commerce et sa disparition c'est presque que leur problème ils doivent s'adapter, ils auraient du se regrouper etc. …, mais pour les viticulteurs les pauvres il faut les aider. Pourquoi? Les producteur de tabac n'ont pas la même estime de votre part pourquoi cette discrimination. A moins que votre opinion sur l’alcool ne soi pas dénué d’intérêt et se qui est tragique c’est que sa l’est. Vous ne posséder pas de culture de tabac ni n’en vendez, par contre vous ou votre famille posséder des vignes et vendez du vin.
Votre parole MEL n'est pas divine ou égalitaire et dommage que dieux na pas griller une clop apres son repas et son vin.
Ils seraient temps de sortir de votre bulle Leclerc et de la bulle de se blog.
L’ignorance est une autre forme de censure ainsi que l’oublie, et parler peu ou parler a sens unique ne fait pas avancer les choses.
Ps : Je vous ai écrit pour savoir si vous pouviez me faire passer le fichier des prix de qui est le moins chère. Pas de réponse = négation. Pourquoi vous ne publier pas vos prix si vous êtes moins cher. La technique c’est faux comme réponse et le coût aussi. Seul le courage et la volonté et bien sur la vérité font défaut dans se feu de paille déjà tomber dans l’oublie.
Vous dites qu'il existe des alternatives au pétrole, oui mais non utilisable. Par exemple, pour remplacer uniquement les carburants (éthanol et huile végétale), il faudrait mettre en culture 200% de toutes les terres arables de la planète (remplaçant donc les productions vivrières et abattant toutes les forêts sur terre arable) et on ne produirait pas assez !
(ensuite vous dites que l'Etat français interdit alors que c'est l'UE qui a interdit plus de 5% de végétal dans le carburant)
C'est d'abord un problème de consommation de pétrole et pas seulement en carburant mais aussi en plastique (et là, pas de substitut en éthanol ou huile). Et sur ce point, autant on ne peut être que d'accord sur ce que dit MEL dans son article, autant, je le trouve un peu gonflé de venir faire la leçon avec les gachis d'emballages plastique (vous défaites les courses, vous avez de suite, une poubelle d'emballages !) dans les magasins (pas que Leclerc évidemment). Est-ce réellement utile d'emballer sous film plastique des boites de conserve ou des briques de lait alors qu'il est simplissime avec les caisses électroniques de reconstituer les lots ?
En fait, MEL, votre problème c'est que vous, industriel, l'Etat vous fait payer votre pollution tandis que l'agriculteur ne paye pas. N'y aurait-il pas une pointe de jalousie ?
Effectivement, elle est bien bonne!!!
Après de vagues études ratées de journalisme philosophique (??) et l'héritage ô combien méritant de la fortune de papa Ed acquise après maints suicides d'épiciers ruinés, MEL vient se poser en chevalier blanc défenseur de l'environnement. Il nous délivre une analyse critique hautement pertinente basée sur la lecture de revues scientifiques (OF, le Télégramme) et fustige les initiatives des gens pourtant de bonne volonté.
Au lieu de bavasser sur son "bleurg" entièrement dédié à magnifier son image de rebelle chrétien (cherchez l'erreur...), MEL devrait commencer par faire le ménage chez lui.
Dans mon hyper Leclerc, je trouve toujours des saucissons pas chers, parce que faits avec de la viande de cochon arrachée au plus bas prix à mon voisin éleveur.
Dans un autre registre, ce sont les herbicides en vente libre chez MEL qui polluent nos nappes et rivières.
Aux dernières nouvelles, les chercheurs attendent toujours que MEL daigne mettre la main au porte monnaie (oui, là où ça fait mal...) pour subventionner leurs travaux sur la qualité de l'eau et sur les algues proliférantes....
Bravo, cochonne masquée, je trouve ton commentaire interessant.
Les "méchants cochons pollueurs" finissent effectivement dans les magasins de MEL.
MEL est cause et conséquence.
D'ailleurs, dans ma région (Indre et Loire), les E.LECLERC grossissent à vue d'oeil mais le rayon "commerce équitable" lui reste le même. On cherche toujours la viande BIO au rayon boucherie, le porc réduit toujours aussi vite dans la poêle (preuve de sa qualité médiocre).
A lire ce blog, on se fend la gueule.
MEL ferait mieux de revoir sa rubrique "dévellopement durable", il est si peu crédible. Ses succursales foisonnent de contre-exemples en rapport à ses articles.
Quel plaisantin ce MEL,
Mon Ego Leclerc et ses copains Carouf, InterM, O Chant deviendraient-ils plus écolo que les Verts ?
Parlons effectivement de la délicieuse viande porcine vendue sur les étales des supermarchés.
Pas chère la cote de porc qui réduit dans la casserolle ! Mais oh combien de fois plus chère, que son prix d'achat chez le producteur. 10X, 100X.
Allez Michel Edouard, dis nous combien te rapporte chaque tonne de porc vendue dans l'ensemble des magasin E.L
Car LeClerc en Co, c'est humain, préfère faire de grosses plus values sur le dos de nos producteurs de cochons et des autres producteurs du monde entier.
MEL asphixie les producteurs et du même coup les poissons. Les producteurs produisent pour vivre, fertilisent pour produire, polluent en fertilisant (si c'était aussi simple !!!), eutrophisent en polluant, asphixient les poissons en eutrophisant, bref la boucle est bouclée, merci MEL.
Moi perso je n'y met plus les pieds dans les GMS, je préfère acheter local à des gars que je connais bien et qui ne se rince pas sur mon dos.
R1
Je suis stupéfait de la naïveté dont peut faire preuve MEL. Naïveté de croire que l'entière responsabilité des algues vertes incombe aux éleveurs de porc. Naïveté d'un professionnel pourtant au fait des nuissances provoquées également par les dégazages intempestifs des bateaux en mer (n'en déplaise au marin passionné qu'est MEL). Naïveté de croire que tout ce que l'on peut lire dans la presse est parole d'évangile (sic). Naïveté d'un entrepreneur qui pense avoir le monopole des bonnes idées.
Est-ce réellement par naïveté d'ailleurs ? Je
pencherai davantage vers le terme "démagogie"
Monsieur M E L, et vous ! que faites vous pour l'environnement à part nous faire payer des sacs qu'hier vous nous offriez ?
Breizhonneg
Le problème des algues vertes provient du fait que le prix d'un kilo de cochon ne représente pas l'intégralité des coûts que sa production engendre. Certains coûts sont en effets "cachés", reportés, c'est alors à la collectivité ou à certains particuliers de les assumer.
Les nitrates se transforment en nitrites dans le tube digestif ; elles engendrent à long terme des cancers de l'estomac . Voilà un exemple de coût caché, en Bretagne on doit désormais acheter de l'eau minérale ou alors accepter de tomber malade ; le particulier débourse près d'un millier d'euro à ce titre chaque année. Idem en ce qui concerne les algues vertes : elles induisent une baisse du potentiel touristique des zones concernées et obligent les communes à s'équiper en matériel de nettoyage. La facture est alors réglée par le professionnel du tourisme ou par le contribuable.
Il est bien évident que le porc devrait être produit en quantité moindre et que son prix devrait être supérieur. Vous voulez manger du porc ? Payez-en le prix ! Mais à ce stade, on bute alors sur la concurrence étrangère qui elle ne manquera pas de produire moins cher. Pour être compétitif il faut donc polluer.
On se trouve face à un problème récurrent : le transport du fret par camion est plus compétitif que celui par chemin de fer, mais combien de routes défoncées combien d'accidents mortels chaque année ? La sncf elle paie pour l'entretien de ses voies (en tout cas plus qu'une taxe à l'essieu).
Une usine d'incinération se monte près de chez vous, en 6 mois votre logement perd la moitié de sa valeur. Serez-vous dédommagé ? Non car le coût de construction de l'usine n'inclue pas le dédommagement des moins-values pour les habitations du voisinage. C'est donc à vous malchanceux particulier qu'incombe le privilège d'assumer l'intégralité de ce coût.
On pourrait multiplier les exemples, ce système hypocrite engendre des injustices flagrantes, ce serait progrès que de le voir enfin dénoncé au grand jour.
Réponse à Breizhonneg (01/09/2006)
Allons donc, ne me faites pas de faux procès. Et ne jouez pas non plus aux prudes. La pollution est un phénomène général. Mais l’élevage porcin intensif a évidemment une responsabilité particulière dans l’augmentation des taux de nitrates et dans la prolifération des algues vertes.
Je suis d’accord néanmoins : d’énormes investissements sont désormais réalisés par la profession. Il y a encore beaucoup à faire. Et autant pour moi, il importe plus aujourd’hui d’accompagner le mouvement que de vilipender le passé.
Réponse à R1 (31/08/2006)
Eh, eh, apparemment, j’ai fait mouche. Trop de réactions outragées, de fausses pudeurs altérées, de cris d’orfraie pour que tout ceci me semble honnête… Dites-moi ce qu’il y a de constructif dans votre commentaire. Au fait, pourquoi, vu votre opinion aussi négative à notre égard, perdre votre temps à écrire ce genre de commentaire !
"Dites-moi ce qu’il y a de constructif dans votre commentaire."
Le raisonnement est simple : pollution parce que productivité pour avoir plus de produit pour moins cher, car les grandes centrales d'achat mettent une forte pression pour acheter le plus bas possible.
Là où le bat blesse c'est que même si cela augmente la marge du distributeur, cela est aussi profitable aux consommateurs qui paient moins cher son produit
Bonjour la pollution nitrate !
Il vous suffit de manger une feuille de bonne salade bio pour absorber l'équivalent de 1000 litres d'eau à 50 mg de nitrate.
Donc si les nitrates des légumes contenus en très grande quantité ce n'est pas celle de l'eau qui pose problème pour la santé .
Un simple rappel concernant la santé et les nitrates : comme tout aliment l'excès de nitrate est dangereux car il provoque la maladie bleu chez les enfants de moins de 9 mois.
Le véritable problème pour les algues à une autre origine plus sournoise : c'est le phosphore véritable fléau utilisé massivement par l'industrie des produits d'entretien et de nettoyage. Mais là silence on ne touche pas à la mine d'or .
Monsieur Michel Edouard Leclerc vous connaissez les réflexions de beaucoup de chercheur appelé à rester muet pour garder leur emploi.
La véritable pollution est d'origine Urbaine , la carte des point d'eau analyser montre clairement le lien étroit entre ville et pollution.
Il faut se taire au non du grand marché de la consommation ;
Combien de temps allez-vous pouvoir garder le secret ?
L'heure de la vérité est pressante ! vous en conviendrez cher prince !!!!!!!
La pollution à une origine pour le monde agricole plus pertinent que que le simple fait d'accuser les producteurs.
Le plus grand polluant agricole de notre pays c'est la poignée de décideur qui définissent le prix d'achat des denrées agricoles.
C'est simple : plus le prix baisse et plus l'agriculteur doit par l'intermédiaire de l'industrie chimique et agro-alimentaire, produire de quantité pour conserver un revenu .
Etant donner qu'il n'est pas répercuté le véritable prix d'achat au bénéfice du consommateur, ce sont pour une très grande partie les GMS qui vampirise les prix des produits par un habille système d'écrasement au achat et de profit à la vente.
Donc le premier destructeur de l'environnement et de la production de produit de qualité plus que moyenne revient à ceux qui ont créer ce grand marché du pas cher et des achats faciles (ne parlons pas de la disparition du petit commerce).
Qu'il s'agisse de cochon ou d'autre production, les conséquences se rejoignent.
L'industrie agro-alimentaire associée à la grande distribution, sont responsables du démantèlement de l'agriculture. La modernisation et l'adaptation de ces derniers aux exigences du marché n'a pas compensé la baisse des prix orchestrée. Certes le panier moyen de la ménagère a baissé en pourcentage, mais en regardant de plus prêt, on constate que son évolution en valeur constante n'est pas à la baisse. Toutes ces données sont exploitables pour se justifier, ne soyons pas dupe !
Alors pollution s'il y a ! l'augmentation des prix à la production est le premier moyen pour un agriculteur pour y remédier.
Salut à tous !
Nous faisons actuellement un TPE sur les algues vertes : leur formation, les problèmes qu' elles posent et leur utilisation. Nous avons lu avec beaucoup d' intérêt votre rapport et les commentaires. Auriez vous des adresses, des références qui pourraient nous aider ??
Nous vous remercions d' avance et d' ici là, alguez bien !
Les OGM dans le riz,
Ne parlons pas du soja et du maïs, la surprise serait encore plus grande.
Tout n'est que mensonge, business et recherche de profit. Celui qui pense pouvoir apporter une réponse aux problème de la famine dans le monde, de réduire les coûts de productions avec les OGM, ou d'améliorer la situation environnementale par cette pratique, il n'a vraiment rien compris au processus de cette innovation.
Rectifions les dires de Michel-Edouard Leclerc, ce n'est pas les agriculteurs qui sont demandeur d'OGM, mais plutôt les semenciers, les dirigeants des coopératives agricoles, les représentants de la FNSEA, en fait tous ceux qui polluent le débats et qui le refusent.
Les agriculteurs produisent leurs propres semences traditionnelles pour réduire les coûts ( 50% d'économie par rapport à une semence ordinaire achetée à la coopérative), c'est la le fond du problème rendre les agriculteurs dépendant de l'achat des semences . Au lieu de dépenser 30,00€ par hectare ils devraient sortir de leur poche plus de 100,00€par hectare pour un même quantité produite ( les résultats obtenus dans les autres pays le prouvent).
Les semenciers et les Coopératives sont avident de ce potentiel économique.
Le question de savoir s'il existe un problème de santé avec les OGM....... On verra plus tard et de toute façons il est nécessaire comme tout d'amener la preuve du lien direct avec la santé humaine. Au rythme ou vont les recherches nous en parlerons dans plus de 20 ans. Donc la seule stratégie qui peut les protéger , c'est de rendre toutes les productions OGM.
Premièrement , faire légaliser l'utilisation de la semence,
Deuxièmement, réduire à néant la recherche des variétés traditionnelles,
Troisièmement, saturer les catalogues de semences présentés aux agriculteurs par des semences OGM.
Quatrièmement bannir les résultats des variétés traditionnelle pour mieux promotionner les OGM.
Comprenez que cette stratégie ne prend pas en compte le devenir des agriculteurs et de leurs situations économiques, et encore moins les désirs du consommateur.
Monsieur Michel-Edouard Leclerc se tournera vers le marché du moment de telle sorte que le mot à dire du consommateur restera une question sans intérêt aucun.
Tous ceux qui souhaitent garder dans leur pays des agriculteurs traditionnels responsables et porteur d'un vrais avenir, maintenez la pression pour du non OGM
!!! Il ne s'agit de bio ou pas de bio mais plus encore, de sécurité alimentaire.
La vache folle tous les spécialistes savaient et pourtant les mêmes mécréants que ceux des OGM on pris le risque de s'aventurer dans cette voie.
Réponse à Domi et à Personnel (11/17/09/06)
Ah, la mauvaise foi ! Ainsi l’agriculteur serait dédouané. L’unique coupable serait le distributeur, coupable d’avoir acheté un produit trop productif… Oui, mais voilà, le distributeur commercialise aussi des produits bio ! C’est donc qu’il existe plusieurs modes de production, indépendamment du distributeur ! Et cette différence ne renvoie-t-elle pas à la responsabilité du producteur ?
Salut,
Ca manque peut-être de lois tout ça. Mais diminuer la production qu'elle soit d'ordre animalière ou végétale, c'est diminuer aussi un certain nombre d'emplois notamment dans la main d'oeuvre agricole, les coopératives... L'agriculture rapporte beaucoup d'argent notamment avec la création de la CEE d'une part, de l'Europe d'autre part. Mais une partie des agriculteurs en vogue se tourne vers le bio. Sur du long terme, peut-être qu'il y aura un meilleur équilibre entre les cultures intensives et les cultures bio. Avec, bien sûr, un tout petit peu moins de pollution.
Tchao M.E.L.
Re bonjour,
Visiblement notre message n' intéresse personne ! Nous on essaie de se documenter au mieux, de voir le maximum de choses pour refléter la réalité, et non pas schématiser simplement le pbl des algues vertes (qui serait tellement plus simple !). On a trouvé bien d' autres pistes maintenant, mais on pensait juste que des personnes qui débattent si vivement sur notre sujet de TPE pouvaient nous apporter quelques infos. Espoir déçu... Bonne discussion quand même
Une piste à suivre pour le TPE des 1èreS sur le site d'eau et rivières :
http://www.eau-et-rivieres.asso.fr/index.php?41/25
Réponse à MEL,
La question n'est pas de reporter la responsabilité des agriculteurs, mais de vous faire comprendre que le pouvoir de choix et de décisions des agriculteurs ne dépend pas de sa bonne volonté. Il dépend de tout un processus bien huilé qu'un non innitié semble avoir beaucoup de mal à comprendre. Les agriculteurs sont encadrés par des contraintes administratives( des milliers) , des règles commerciales, des difficultés climatiques, de sol , encadrés aussi par les organismes qui choisissent pour eux les contrats de productions et les moyens de mises en oeuvres, les banques qui finances des pertes récupéré sur les biens personnel de toute la famille, des charges sociales dont leur revenu ne permet pas de vivre, etc...
Vous semblez être à des années lumière du véritable quotidien du monde agricole qui souffre et ne trouve plus de reprenneur de leur exploitation, bien sur les voisin s'aggrandissent et le mal empire !
Vous exposé le bio comme une alternative , Je veux bien , seulement tout est question de prix . Tant que la production bio est minime les cours sont bons et dés que cette méthode se généralisera les cours vont s'éffondrer .
Je voudrais aussi vous REDONNER LA DÉFINITION D'UN PRODUIT BIO : C'EST UNE PRODUCTION OBTENU SANS AUCUN PRODUIT DE SYNTHÈSE et contrairement aux pensées de beaucoup bio ne signifit pas production sans pesticides loin de là , pour certaine production il faut intervenir plus souvent.
La seule véritable alternative pour tous est la production raisonnée qui a pour objectifs de ne pas traiter ou de le faire en dernier recour si la récolte est menacée.
Mais ce choix ne convient pas au sytème décris plus haut puisque l'agriculteur reprend de la technicité et de l'indépendance sur les firmes phytosanitaire.
Voilà un vrais débats qui pourrait être une solution pour la production et l'environnement.
Bonjour et désolé d'arriver aussi tard dans le débat mais c'est juste pour corriger une erreur de taille: selon le spécialiste francais de l'eutrophisation (fonctionnaire de l'état) la présence des algues vertes est liée à la haute teneur en phosphore des eaux bretonnes...Phosphore issus des sédiments de nos rivières...et ce phosphore d'ou vient-il me direz vous? de l'agriculture pour une petite part (20%) et pour reste de l'activité humaine dont les lessives. Les stations d'épurations commencent seulement à traiter ce phosophore qui jusqu'à peu était relargué en l'état...et parfois l'incinère (un comble pour un élément dont la source n'est pas inépuisable)
Pourquoi cette vérité scientifique est-elle cachée. Au fait j'oubliai les nitrates: simples boucs émissaires qui jouent ici un rôle de facteur limitant.
Il reste beaucoup de Phosphore au fond des rivières....un forte pluviométrie printannière et ça recommencera, le stock de sédiment chargé en phosphore est très important.
Doosier scientifique complet sur simple demande...
c'est cool
Bonjour, je veux vous demander un renseignement, si vous connaissez les adresses des laboratoires qui font l’extraction de l’agar aga à partir des algues rouge, mon frère veut exporter à peu près 30 tonnes d’algues rouges, merci

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