SOCIÉTÉ Actus / Débats

Pouvoir d’achat et choix alimentaires : les enjeux sociaux des normes nutritionnelles

J’ai engagé mon groupe dans le secteur de la santé. Beaucoup de projets confidentiels encore, mais une stratégie globale matérialisée par des aspects commerciaux (diversification dans la parapharmacie, la parfumerie, l’optique, etc…), des actions de mécénat (Ligue contre le cancer, UNAPEI), une politique d’information sur les packagings des MDD, le lancement d’un premier site de diagnostic nutritionnel… Depuis trois ans, j’ai fait plancher plusieurs collaborateurs et consultants extérieurs sur ces sujets, estimant que la préoccupation santé (bien-être, hygiène, comportement sanitaire et principe de précaution, etc…) allait guider toute la consommation alimentaire, mais probablement aussi l’achat d’une bonne partie des produits de consommation courante (entretien, cosmétiques, textile, etc…). Parmi ces sujets, la nutrition ! La semaine dernière, j’écoutais les interventions de deux spécialistes auditionnés par mes collaborateurs : le docteur Laurence Plumey, médecin nutritionniste (hôpital Necker), et Jean-François Boisvieux, professeur en santé publique (hôpital de la Pitié-Salpêtrière). L’un des premiers problèmes, c’est le lien entre le mode nutritionnel et le revenu des consommateurs. J’explique : 1) Les pouvoirs publics ont lancé un Plan National Nutrition Santé (PNNS) ambitieux, sous forme de recommandations diverses. Mais sa mise en œuvre pratique se heurte à des problèmes de prix : les produits conseillés sont souvent jugés chers… Alors que les populations à bas revenus sont celles qui en ont le plus besoin. Exemple : on compte 17 % d’obèses dans les foyers dont les revenus sont inférieurs à 900 €/mois contre 8,1 % dans les foyers dont les revenus sont supérieurs à 5 300 €/mois (Groupe parlementaire JM Le Guen, mai 2004). 2) Les mesures correctives (produits de qualité…moins chers) sont d’autant plus nécessaires que « les ménages défavorisés consacrent une part de leur budget plus forte à l’alimentation (22 % pour les ménages en dessous du seuil de pauvreté contre 18 % en moyenne) », INRA « sciences sociales », 12/05. 3) Les chercheurs de l’INRA posent la bonne question : « Est-il possible de se procurer, avec un très petit budget, une alimentation optimale sur le plan nutritionnel ? ». Sans être négative, la réponse n’est franchement pas satisfaisante. a) Les personnes en situation de précarité consacrent l’équivalent moyen de 2,5 €/jour à leur alimentation. Pour respecter l’ensemble des apports nutritionnels conseillés, il leur faudrait un budget minimum de 3,2 €/jour. b) Avec cette maigre dépense, l’apport nutritionnel ne serait cependant optimal qu’en consommant des légumes secs, des céréales complètes, des poissons en conserve, des abats et oléagineux…« pas nécessairement attractifs sur le plan gustatif ». c) Enfin, pour être atteint, cet objectif suppose que chaque individu soit informé de la composition et de l’apport énergique et vitaminique de chaque produit (ce qui n’est évidemment pas le cas). 4) Plus globalement, la nutritionniste Laurence Plumey rappelle que même pour les catégories moyennes de revenus, les aliments recommandés pour une alimentation équilibrée, tels les fruits et légumes, viandes maigres ou poissons, sont les sources d’énergie les plus onéreuses. Très significatif son diagramme de consommation de fruits et légumes en fonction du revenu ! img_blog_170106_fruits 5) Je retiens des études de l’INRA et des travaux effectués par nos consultants : a) La faiblesse d’un budget pousse à la sélection d’aliments sucrés et gras, riches en énergie. img_blog_170106_densite b) La structure actuelle des prix alimentaires ne favorise pas le suivi des recommandations PNNS. c) Dans nos magasins, comme dans les gammes de nos fournisseurs, aucun système d’information global et cohérent ne favorise la pratique du « bien manger » (sauf à l’unité, par boîtage, mais pas de quoi bâtir un menu « complet »). Qu’en conclure, du point de vue des actions correctrices ? Je distingue trois priorités : 1) A cahier des charges/qualité incompressible, maintien d’une gamme permanente à bas prix dans les produits frais. 2) Refonte des assortiments MDD, et valorisation des apports nutritionnels non gras et non sucrés (ce travail sur la composition du produit se fera progressivement, mais à un rythme soutenu). 3) Mise en place d’un système d’information par produit (apport nutritif à la portion), du packaging à la PLV, avec des actions pédagogiques relais (publi-rédactionnel, site internet…). Bon, voilà encore un bon plan de travail…

34 Commentaires

MEL l'intention est bonne si elle est bien respectée...
Car malheureusement, baisse des coûts dans l'alimentaire se justifie souvent par des ingrédients de substituts...
Exemple ? La mayonnaise... OUi elle peut coûter moins cher c'est sûr qu'en mettant plus d'eau que d'huile... Baisse du coût sans doute, mais niveau nutritionnel... bof bof
Autre exemple ? le terme "saveur" car 'saveur' veut dire goût synthétique, donc produit artificiel
Et depuis récemment j'ai été scandalisé de constater à quel point les aliments sont constitués d'additifs en quantité impressionnante de type 'E...'.
Quand on regarde à quoi correspondent ces "E..." et les effets sur la santé ca fait peur.
J'espère sincèrement MEL que meme si c'est exemples sont très concrets ils peuvent illustrer qquechose d'objectif pour lier nutritionnel et qualité ET prix qui sont souvent des paradoxes quand on les réunit...
Un ex. d'un site qui ne laisse pas indifférent sur les contenus nutritionnels :
http://science-citoyen.u-strasbg.fr/dossiers/additifs/
Pardon dans mon nom de pseudo ce doit etre "Athanor" tout court... et non "A Elyan" ;-)
(Je parle de mon 1er commentaire)
il suffit de sortir un peu des centres commerciaux et d'aller faire un tour au marché du coin
on évite les filets marketing des GMS et on repart uniquement avec de l'alimentaire, au final on y gagne
Tu n'as pas tout à fait tord Matthieu, malheureusement on ne trouve pas tout sur un marché...
Athanor > je le sais bien, mais au moins quand on part acheter à manger, on n'ach-te que ça, et on ne plombe pas son budget en mettant dans le caddie des dvd, et autres choses que ne sont pas très nourrissantes :-)
il faut réapprendre aux gens à bien manger, mais pour ça il faudrait leur montrer qu'on peut trouver de bons produits pas si chers à deux pas de chez eux
j'ai aussi la chance d'avoir un marché de qualité et très bien fourni :)
de la pub c'est tout!
Personnellement depuis que j'ai pris conscience du contenu d'aliments déshydratés (E...) j'ai stoppé net il y a quelques mois.
Sans vouloir faire de pub ou anti pub; il suffit de regarder le contenu d'une soupe gratinée Oignon de ROYCO, ca fait peur !!!
Amusez vous à regarder à quoi correspondent les E...
Idem pour les chips 'saveurs' de VICO bouh !!!
Du coup depuis quelques semaines j'ai pris l'initiative de cuisiner moi-même ma soupe aux oignons qui a EXACTEMENT le meme goût que celle de ROYCO chimique.
Sauf que là j'achète mes oignons, je fais mes croutons avec mon pain dur etc...
A vouloir faire des aliments deshydratés en portions individuelles, on s'éloigne du naturel et nutritionnel en faisant croire le contraire au gens et ça c'est bien inquiétant.
Car comme le sous-entend Matthieu, ma soupe d'oignons faite maison me coute le meme prix si je regarde vraiment.
C'est exactement sur ce thème que je souhaite -comme je vous l'ai encore affirmé hier matin- vous offrir ma collaboration et mes idées. De mère de famille qui n'a pas forcément le temps de cuisiner (mais qui est soucieuse de l'équilibre de ses menus et des habitudes qu'elle inculque à sa nichée) de cliente Leclerc, de médecin des femmes (dont on sait le rôle majeur en tant qu'acteur de la santé familiale), de médecin de recherche clinique bien initiée au marketing et au faire savoir, à la communication scientifique ou grand public (Salon forme et santé etc.)
et de femme réaliste, pragmatique et...opiniâtre.
Avec les qualités et défauts que ces caractéristiques impliquent.
Ah zut à la fin ! vous faites plancher vos collaborateurs, vous sollicitez des consultants extérieurs et vous ne me permettez pas de participer à l'un de ces groupes de travail !
Je ne vous demande qu'une chose :
- vous rencontrer une petite heure pour que vous puissiez juger de mes compétences à vous aider dans ce sens et moi de la réalité (question non péjorative) de votre engagement (jusqu'où voulez-vous, pouvez-vous aller ?)
- puis, si nous nous convenons, contribuer gracieusement, par pure conviction et comme vous via votre blog, par envie de communiquer à large échelle ce que je j'essaie d'inculquer en face face depuis des années (quel gain d'énergie possible !), à ces réflexions et actions.
Vous avez toutes mes coordonnées ; je me rendrai disponible au moment qui vous conviendra (logique puisque c'est moi qui insiste !)et après libre à vous de dire non, vous ne m'apporterez rien. Full stop Brigitte.
Mais comme on dit aux enfants, et pour boucler sur le thème : goûtez d'abord ce qu'on vous propose au lieu de faire la fine bouche !
je ne suis pas allergisante et je ne fais pas grossir, promis juré.
Souvent les familles avec des revenus modestes consomment d'avantage de produits préparés en sachets surgelés ou en conserves. Le taux de lipide est supérieure au taux de protéines en général, mais pour le savoir il faut prendre le temps de lire l'étiquette...
D'autre part ces mêmes plats sont souvent trop riche en sel. C'est pour ça que des nutrionnistes conseillent de supprimer ou remplacer le sel dans leur alimentation par des plantes aromatiques et des épices.
Enfin une autre cause de l'obésité chez les jeunes c'est la place trop importante de la télé qui sert un peu trop de nounou et pendant les pubs ont hésitent pas à aller se sevrir dans le frigo ou les placards ;)
soyons optimistes et combattifs !
vous avez tous raison je crois, mais IL FAUT faire quelque chose ! on ne peut pas regarder les gens se bousiller la santé, se boucher les artères, laisser leurs gamins devenir obèses et croire que le moment venu la médecine résoudra tout ça. Scientifiquement et économiquement ce n'est pas vrai.
Donc à nous, JBP, Erosoft, bibi, MEL... d'être créatifs et de trouver le moyen de convaincre et d'éduquer. En valorisant l'hygiène de vie et en en faisant un luxe accessible ? en rendant tendance le fait de savoir lire une étiquette ou de bien composer ses menus ?
MEL pourrait nous permettre de nous réunir et de phosphorer, non ?
Oui c'est vrai ce problème des plats contenant du sel...
C'est d'ailleurs un gros soucis pour ma mère qui souffre d'une maladie et qui est contrainte au régime sans sel...
Pour elle l'impasse est dure... PARTOUT le sel est présent, même dans des aliments qui normalement n'en nécessite pas...
Tout ca juste pour un simili de goût ou pour alourdir les aliments et les vendre plus cher...
Brigitte,
Je n'aime pas trop l'idée que l'hygiène de vie est un luxe inacessible. Dans la mesure où l'on peut acheter des fruits, des légumes et de la viande pour un peu plus cher que les plats préparés, pas de là à dire que ce serait un luxe. :)
Et ça peut étonner, mais je pense d'autre part que les industriels font beaucoup dans la prévention de l'obésité! En effet les grands groupes industrielles publient tous un magazine publi-information sur leurs marques et leurs bien faits à destination des foyers. Evidemment rien est dit à l'encontre des produits, mais dans les pages "menu de la semaine" on trouve des conseils pour manger équilibré (exemple : au gouter manger un yaourt et un fruit, ou un peu de céréale un verre de jus de fruits et une boisson chaude pour le petit-déjeuner.) Les distributeurs se mettent également à le faire directement sur leur produit MDD. Et la télévision fourmille d'émission ou de chronique culinaire pour apprendre des recettes simple, rapide et économique où l'on apprend à cuisiner sans trop mettre de gras. Malheureusement on ne peut pas prendre les gens par la main tout le temps, Il y a un moment où ils doivent se prendre eux-mêmes en charge...
Athanor, moi c'est mon père qui est au régime sans sel... et impossible de lui faire manger des plats sans sel "trop fade"!
Et oui je sais ma mère aussi galère à résister...
Même du saumon elle le désale mais bon ca retirera jamais tout le sel...
Pardon de cet encart vie perso...
Je suis basico-basique et je crois au principe de réalité : Tout le monde ou presque souhaite vivre plus vieux et en bonne santé, non ? Et si je taxe pour l'instant l'hygiène de vie d'inaccessible, c'est parce que beaucoup trop n'y ont pas accédé...cqfd
Traduction : siles moyens (publi-rédactionnels, émissions TV etc) de communication actuels sur le sujet n'atteignent pas leurs objectifs, cherchons en d'autres ! C'est tout ce que je dis.
Via les cartes de fidélité les distributeurs disposent d'une mine fabuleuse d'infos sur les comportements alimentaires.
Via leurs magasins ils disposent de lieux privilégiés pour mettre en place de nouvelles actions, les évaluer (directement via les clients et indirectement via les achats réalisés) et les adapter ou y renoncer si inefficaces.
J'avoue que plus le silence de MEL en réponse à ces propositions perdure, plus je suis déçue (désillusionnée ?) et commence à croire que derrière les notes et les déclarations, il n'y a pas de vraie volonté de faire avancer les choses dans ce domaine.
Sinon pourquoi se priver de compétences et de bonnes volontés pour essayer d'y arriver ?
Et commençons par des BD sympa sur le sujet mises à disposition des enfants dans les magasins Leclerc si cela peut motiver notre MEL préféré.
signé : une fidèle lectrice de Spirou
Tout ce que je raconte : info ou intox ? coulisses aussi ou scène médiatique seulement ? façade ou charpente ? faut-il me juger sur mes mots ou sur mes silences ?
Mais elle va me lâcher la fourche l'utopique de la grande distribution ?
J'ai écrit "je fais plancher des collaborateurs et des consultants extèrieurs", je n'ai pas dit je mets en oeuvre le fruit de leurs cogitations !
Hola ! elle confond dire et faire la passionaria du bon usage de l'aliment (et autres produits de consommation courante)
Ce blog c'est mon mien ; je dis qu'est-ce que je veux et ça n'engage que ceux qui me croivent (c'est pas de moi ça, mais j'aime assez).
D'aiileurs mon pote de Challenges il a bien répété que je suis un homme de théâtre, alors qu'on me laisse déclamer en paix.
Les Cyrano, après les applaudissements, ils enlèvent leur grand nez non ?
Comment ça pas Cyrano dans mon cas, mais Pinocchio ?
Une suggestion dans ce cas sur l'étiquetage des produits. Rajouter la liste des compléments énergétiques au produit acheté par rapport à la quantité consommée.
Exemple sur une boite de 400g de petits pois: "Ils vous reste à consommer avec ce produit : 50g de fruit, 150g de poisson etc.." bip bip..
Bon quand est ce que MEL nous ouvre un centre de méditation transcendentale et renonce aux illusions que cette société mercantile et veule nous offre ? :)
Quand est-ce que MEL met du contenu derrière ses déclarations et ses sourires ? voilà ce que m'avaient prédit mes amis qui oeuvrent aussi dans la grande distribution (et connaissent les coulisses du métier) quand j'avais dit essayer de contacter MEL pour contribuer plancher sur le thème du quotidien alimentaire : "Tu peux toujours attendre des nouvelles de MEL, il est bien trop occupé à pressurer ses fournisseurs avec la soi-disant nouvelle loi pour laquelle il s'est battu!!" ou bien "le blog ? Je vais le voir régulièrement. Ce n'est pas un vrai blog, c'est un véritable outil de communication...
MEL est très fort pour préempter les innovations de ce style et s'en servir pour le développement de ses affaires.
Il est très malin et très bien conseillé."
Avec la presse à sa botte en prime et quelques lèche pompes qui interviennent "spontanément" sur ledit blog
Bien vu mais aussi bien joué MEL !
Quand est-ce que MEL mettra du contenu derrière ses déclarations et ses sourires ? jamais sans doute
Voilà ce que m'avaient prédit mes amis qui oeuvrent aussi dans la grande distribution (et connaissent les coulisses du métier) quand j'avais dit essayer de contacter MEL pour contribuer plancher sur le thème du quotidien alimentaire : "Tu peux toujours attendre des nouvelles de MEL, il est bien trop occupé à pressurer ses fournisseurs avec la soi-disant nouvelle loi pour laquelle il s'est battu!!" ou bien "le blog ? Je vais le voir régulièrement. Ce n'est pas un vrai blog, c'est un véritable outil de communication...
MEL est très fort pour préempter les innovations de ce style et s'en servir pour le développement de ses affaires.
Il est très malin et très bien conseillé."
Avec la presse à sa botte en prime et quelques lèche pompes qui interviennent "spontanément" sur ledit blog
Bien vu mais aussi bien joué MEL !
Ben moi, je dis merci Mr Leclerc pour vos produits ECO+, mère de 4 enfants, avec un seul revenu, je nourris toute ma petite famille avec un caddie de 130€ par semaine, et en plus c'est bon voire meilleur que certaines grandes marques (moins d'additifs, colorants et autres produits chimiques) pour la nourriture, la lessive et autres produits d'entretien également. Ceux qui disent que Mr Leclerc fait du vent, je leur dit : "arrêtez d'aller chez les autres distributeurs".
Merci encore
Monsieur,
J'ai soumis l'idée suivante au groupe Carrefour (Pourquoi eux ??? les plus proches de chez moi) qui l'a rejeté au bout de six semaines, mais après tout de même qu'elle ait circulé de Mr Uzan à G yraeta et R Vaxelaire puis P Bappel et S Mesny.
Aussi je suis toujours à la recherche d'un Maître d'Ouvrage pour ce concept dont la présentation était orientée Carrefour. Je suis vierge de toute culture Leclerc, et me tiens à votre disposition pour une réécriture à cette lumière.
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Envoyé le 12 décembre à EU, GY, RV
13EXiTALiD est un projet d’entreprise de conception en Promotion Marketing Communication.
13EXiTALiD adresse son premier projet aux géants de la Distribution et de l’Agro alimentaire.
Cuisine & Séduction : Les enjeux de la promotion sont ici multiples : attirer de nouveaux clients, déclencher leurs achats une fois la porte franchie et surtout les faire revenir, et les fidéliser par mutualisation.
L’offre développée est un nouveau concept de commercialisation des produits frais. Ce mode de commercialisation s’avèrera être par delà sa vocation économique un puissant support de communication et de séduction.
Ce support de par sa nature sera la voix de la réunion d’une somme surprenante d’intérêts, d’acteurs, de desseins, de partenaires, d’échanges, d’idées et de valeurs au coeur d’un principe universel et transnational
Le projet consiste à proposer au consommateur un kit produit Frais Bio à cuisiner selon une recette qui lui est fournie, dont la composition tiendra compte des stocks de produits frais afin d’en écouler les prioritaires, et des règles d’équilibre et d’hygiène alimentaire.
On pourrait ne retenir que l’aspect économique de l’opération : Limitation des pertes pour l’exploitant, On pourrait n’y voir que l’Eco-gestion des ressources naturelles et agricoles, ou encore, l’intérêt sanitaire et cela commence à faire, mais la Force de cette action dépasse se simple cadre de Développement Durable pour inscrire l’ensemble des acteurs dans l’Economie Durable et valoriser l’entreprise.
En fait, nous venons sciemment de construire notre Force d’attractivité et notre vecteur de Communication et pouvons en révéler outre la vocation économiques entrevue, les vocations profondes et les bénéfices pour tous liés à l’Economie Durable.
Des plats à cuisiner Alicamentaires, La vocation Sanitaire : Depuis quelques années, les médias nous répètent que les Français ne savent plus cuisiner. Plus grave, encore, la méconnaissance des principes de base d’une alimentation équilibrée auquel s’ajoute la surabondance et les nouveaux comportements ont donné naissance à un boom de l’obésité et une augmentation de certains risques sanitaires. Le distributeur ne se fait ainsi plus seulement garant de la qualité et de l’origine des produits qu’il distribue ou labellise, mais s’engage plus encore en faveur de la santé.
Restaurons le repas, La vocation Sociale : la table n’est plus ce lieu unique, éternel et universel d’échange au sein des familles. Pourtant nous pouvons tous nous accorder à lui reconnaître son rôle fondamentalement social et familial favorable au partage et à l’accomplissement des membres du foyer.
Restaurons le repas. Conservons la fierté de réunir les nôtres et d’autres autour d’un bon plat préparé avec l’amour, la fierté et les origines de celui ou celle qui réunit et régale les siens. Le distributeur, Homeopathe en action sociale moléculaire
Le repas support pédagogique, La vocation Educative : Outre la dimension familial du repas, la cuisine est la traduction comestible des origines, des traditions, du terroir, de l’ histoire et de la géographie des uns et des autres et peut être ainsi un support d’information, d’expression et de manifestation à partager, perpétrer et préserver au titre de la culture et de la connaissance. Notons que le savoir faire lui même serait menacé, certains n’hésitant pas à nous affirmer q’une ménagère de moins de 40 ans sur 2 ne sait pas cuisiner. Le distributeur générateur d’information.
Un projet d’utilité publique, La vocation budgétaire : Le projet devrait permettre une diminution de certaines dépenses de santé et donc lutter contre le déficit de l’institution. Il peut s’inscrire dans une politique de régulation des prix, des produits alimentaires de base qui fut un temps à l’ordre du jour aux Finances.
Le distributeur, Acteur Sur-contribuable ?
Une stratégie Percutante et Responsable, La vocation économique durable.
Pour satisfaire le consommateur, le distributeur va le mettre au cœur de sa stratégie. C'est la Valeur Ajoutée, l’Information, la Communication, l'agencement du magasin, la disposition des rayons, l'emplacement, la qualité, l’intérêt et la nature du produit dans le rayonnage qui guidera le client jusqu'à l’achat.
Tout au bénéfice du distributeur, la déclinaison des principes du développement durable à l’échelle de l’entreprise lui permet d’engager sa Responsabilité Sociétal (Corporate Social Responsibility), de le Dire, et d’inscrire ses Actionnaires dans L’investissement socialement responsable (ISR) Conjuguer intérêts financiers et valeurs sociales augmente la qualité de l’environnement de travail pour les employés, permet aux affaires de contribuer directement au progrès social et environnemental et maintient une croissance soutenu à long terme. Il semble d’ores et déjà susciter l’enthousiasme des Investisseurs les plus prudents et s’inscrit dans les Objectifs 2010 de la Stratégie Economique Européennes. La communication et la Notoriété de l’enseigne ont pris un bon train d’avance. Le message est fort et les Sociétés gagnent.
Le Marché et sa taille : La stratégie est valable pour tout réseau et grand groupe de distribution et plus particulièrement au sein des pays européens.
Pour certains marchés, la Communication, le Marketing , la thématique, le co-branding, etc, pourrait prendre le pas sur la santé et générer des opérations un peu plus spécifiques et pragmatiques. On peut ainsi élargir cette opération à la gastronomie , à l’alimentation des sportifs, des végétariens, tenir compte des saisonalités du festin de Noël à l’ouverture de la chasse à la cellulite au printemps… On peut aussi laisser quelque chef griffer cette collection… Les vocations sont multiples et riches d’attractivité
Une enseigne alimentaire électronique pourrait utiliser ce concept, son retentissement en serait d’autant fracassant et permettrait de toucher plus facilement le cœur de Cible réceptif immédiatement qui baigne dans l’information. Si l’on considère certaines offres existantes, Elles seront pulvérisées, n’offrant que produits semi frais, ne répondant à aucune éthique autre que la conformité normative stricte et la nécessité alimentaire.
La Concurrence : Toutes le entreprises du secteur, leurs services ou leurs agences marketing/Com sont inscrites dans des programmes sociétaux, aucun n’est aussi concret, ni aussi positif pour le consommateur et l’ensemble des acteurs Economiques, Financiers et Institutionnels.
Cette avance peut être maintenue, enrichie ou remplacée par une nouvelle innovation ?
La Distribution Finale : Le rayon est l'unique lieu où s'expriment de façon combinée les besoins des fabricants, des distributeurs et des clients (Racine et Type) et répondra ici à autant d’impératifs.
Du temps gagné : la recette, les produits, les annexes, en tête de rayon à la limite des zones frais et fruits légumes.
Face au Consommateur: Le cœur de Gondole, une barquette de viande d’un côté, une barquette de légume de l’autre, conditionné en interne ou non pour 2 ou 3 personnes. Un prix remisé ou une mention spéciale.
Autour, des condiments, des épices et autres compléments et accessoires de préparation spécifiques à la recette ainsi qu’une suggestion d’entrée, de vin, de fromage et de dessert. Evidemment, on peut continuer de communiquer en faveur du goût des régions et des terroirs, ceci peut conduire à une multitude de coopérations avec les producteurs, les autorités publiques ou privées et les fournisseurs sur les plans de la communication, des leviers d’action ou du prix final
De l’information : Les recettes sont également disponibles sur papier et permettent de véhiculer de la publi-Information ainsi que l’image des partenaires, mais on peu aussi les consulter sur Internet, et on y trouvera une information développée. Pour optimiser son offre, le distributeur va développer son partenariat avec les fournisseurs pour retrouver des axes d’entente et de croissance. Ceux ci en partageant les coûts de l’opération pourront s’associer au projet et sur-communiquer pour lancer nouveaux produits et conditionnements, ou écouler des excédents .
Un média fort,plus d’attractivité pour l’Enseigne et un nouveau levier d’action.
Je vais ici tirer ma dernière cartouche (enfin pour l'instant !). Il s'agit de la totale adéquation de mon projet avec les divers volets de la Loi Galand/ Dutreil. Ainsi, non content de nous amener de la théâtralisation de l'offre à sa scénarisation, je vais nous fournir quantité de scénari de "coopération commerciale" comme le réclame le texte de loi. De plus, l'assouplissement de la notion de revente à perte devrait être favorable à l'attraction prix des opérations. (Je continue de développer, ainsi que le premier volet transmis)...
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Ce à quoi l'on me répondit le 25 janvier
Monsieur,
Nous vous remercions pour votre proposition de coopération.
Toutefois, nous sommes déjà engagés actuellement dans un certain nombre d'actions.
Nous ne pouvons donc pas prendre en compte votre demande pour le moment.
Si vous n'y voyez pas d'inconvénient, nous conservons votre dossier et ne manquerons pas de vous contacter si le besoin s'en faisait sentir.
Bien cordialement.
Roland Vaxelaire
Directeur Qualité, Responsabilité et Risques
Groupe CARREFOUR
Je n'ai pu m'empêcher de répondre ainsi:
Xavier Brassart
10 imp de la gueule d'enfer
13500 Martigues
Mob 06 19 30 11 56
Madame, Messieurs,
Je suis evidemment trés déçu par l'absence de bonnes nouvelles et l'humanité toute robotique de votre réponse. Je pensai naïvement m'inscrire dans vos actions, et entrer à votre service. Je me dois cependant de saluer l'ouverture de Monsieur Uzan et vous remercier de l'attention et du temps consacré, constaté, à l'étude de mon idée et de ses déclinaisons.
Ayant cependant la conviction que mes idées sont bonnes et souhaitant réaffirmer qu'il faut sentir le besoin plutôt que de lui laisser le temps de se faire sentir; je vais proposer mon concept à d'autres acteurs de la société. Aussi, Il y a certainement un inconvénient à ce que vous conserviez mon projet, dans la mesure ou il est en plus enregistré en tant que propriété intellectuelle.
Souhaitant pouvoir un jour, vous rencontrer ou pourquoi pas nous confronter sur le terrain, je vous prie d'agréer, Madame, Messieurs mes Salutations Distinguées.
Sportivement
Xavier Brassart
Créateur de Richesses
Je serais à Marseille le 28 avril lors de l'Euromed's Cup sur l'eau si je décide Aigue Blu (plan Mauric) et son équipage et j'assisterai ensuite à votre conférence. Evidemment Je cherche du travail...
J’espère ne pas vous avoir fait perdre d’un temps que je sais précieux. Aussi je conclurais cette première communication, en vous adressant mes Meilleures Salutations.
Xavier Brassart
Nous sommes quatre élèves ingénieurs de l'Ecole Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts. Dans le cadre de notre formation "Alimentation et Politiques Publiques", nous devons effectuer une étude intitulée "Alimentation, situations précaires en pays développés et risque santé". Notre étude aboutira à une conférence débat animée par Martin Hirsch sur le thème "comment encourager la consommation des fruits et légumes par les populations défavorisées?", réunissant les acteurs travaillant dans ce domaine le 06 Avril 2006 (producteur, institutionnel, politique, association d'aide alimentaire, sociologue).
La distribution est l'un des maillons essentiels de ce réseau, par ailleurs vous-même et le groupe Leclerc semblez engagés sur ce sujet. C'est pourquoi nous souhaiterions, si votre emploi du temps vous le permet, que vous participiez à notre table ronde.
D'avance merci, nous nous tenons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
Nous invitons également toute personne souhaitant assister à notre conférence à nous contacter par e-mail à polipa2006@yahoo.fr
Réponse à brigitte bosio-legoux/bblg (18/01/2006)
Décidément, j’ai du mal à cerner quelles sont vos propositions concrètes. J’ai parlé de vous au directeur de la Scamark, filiale de notre groupement d’achat. C’est cette société qui coordonne la fabrication des marques Repère. Nous travaillons sur la qualité nutritionnelle (Cf. ma note du 17/01/2006). Le directeur de la Scamark se propose d’analyser une de vos propositions concrètes pour voir s’il pourrait intégrer vos prestations dans celles de nos équipes. Peut-être voulez-vous saisir cette opportunité ?
Pardon, je lis ce commentaire après celui sur le blog. Vous n'avez trouvé aucune proposition concrète parce que je souhaitais d'abord être certaine que quelqu'un la lirait - jusqu'à présent cela n'avait rien d'évident.
pardonnez-moi mais je ne sais pas qui est le directeur de la Scamark. Puis-je avoir des précisions sur ne serait-ce que son nom ? après je peux chercher.
Dont acte
A bientôt
brigitte
Bonjour M. Leclerc,
j'ai essayé de trouver le bon endroit pour mon message, mais je n'ai rien trouvé de plus approprié que celui-ci, qui est le sujet qui se rapporte le plus au thème que je souhaite aborder : le pain.
Voilà,
je souhaite consommer du pain complet car, puisqu'il est ici question de nutrition, le pain complet est largement recommandé, pour son apport en fibres notamment.
Seulement voilà le problème : je l'aimerais en baguette et seul le pain blanc (et les pains spéciaux, aux céréales etc.) existent sous cette forme. En fait, le pain complet est le seul à ne pas exister sous cette forme.
Il est emballé sous forme de pains relativements petits (le pain complet est-il cher à produire?), tranchés ou non, et lorsqu'ils sont tranchés, c'est en tranches très très fines!
Sans doute parce que dans la tête de bien des gens, pain complet rime avec régime? donc mini tranches?
Sauf que moi je fais attention à ce que je mange et pour autant, j'aime la baguette, j'aime cette sensation d'avoir un pain bien consistant (je regrette au passage que l'ensemble de vos pains manquent de consistance, car, on parle ici de pouvoir d'achat et les gens à faible revenu apprécie le caractère consistant et rassassiant du pain...), pas les mini tranches de pain complet.
Ce que j'ai acheté par défaut : du pain de mie complet sans matières grasses et sucres ajoutés, mais là encore, la sensation d'un pain consistant me manque, du coup, j'en mange plus et l'effet régime est râté.
Avec ce pain de mie ou avec le pain complet en mini tranches, pour avoir cette sensation de consistance que je ne trouve qu'avec la baguette, je dois compenser en prenant plus de tranches (mais même en augmentant la dose, l'effet n'est pas le même), et comme je mets du beurre sur mon pain, ça fait d'autant plus de beurre. Donc encore mauvais pour le régime...
Peut-être penserez-vous alors : chouette : elle va donc acheté plus de pain et plus de beurre, et tant pis pour son régime?
Et bien non car il est bien évident qu'à ce rythme-là, je vais tout simplement laisser tomber le pain complet...car c'est en l'occurrence le "moins pire" pour mon équilibre nutritionnel.
Je ne m'explique pas que la baguette de pain complet n'existe encore pas à vrai dire...mais je crois que ce serait une formidable idée...
dans l'attente de votre réponse,
Marina
Autre question :
au Leclerc d'Orvault Grand Val, il y a d'excellentes barquettes d'assortiments de légumes préparés (type : haricots verts, brocolis, choux-fleurs, par ex.); comment se fait-il qu'il n'y ait pas la même chose à Paridis?
merci
Re-Thétiot (le 22 février 2006)
Les centres E. Leclerc sont indépendants. Ils appartiennent à des propriétaires différents. Ils proposent des gammes en fonction d’un assortiment négocié au niveau national, dans lesquelles ils puisent pour affiner leur propre sélection. Ils sont même concurrents entre eux.
Re-Thétiot (le 22 février 2006)
En fait, certaines boulangeries proposent des baguettes de pain complet. Mais c’est vrai, ce n’est pas une offre courante. Je n’y peux rien, croyez-moi. Après tout, ce n’est pas moi non plus qui ai déterminé la forme des croissants ou des petits pains au chocolat…
Re-bblg (le 14 février 2006)
Le directeur de la Scamark s’appelle Olivier Kopp.
Scamark
52 rue Camille Desmoulins
92451 Issy les Moulineaux.
J’insiste. Olivier, comme la plupart des collaborateurs du groupe, travaille sur dossiers. Ils sont complètement surbookés. Mais si vous avez un projet un peu élaboré, n’hésitez pas à le lui transmettre.
merci beaucoup de cette réponse précise
je travaille donc à des descriptifs précis
bonne journée
brigitte
Les graphiques concernant le type d'alimentation correspondent aux travaux de Maurice Halbwachs dans les années 30, qui montraient -en gros- que ce n'était pas le revenu qui déterminait le type d'alimentation mais l'appartenance au groupe social.
J'aimerais avoir accès à l'étude complète. J'apprécierais qu'on me la communique.
En tant que fils de maraîchers, je constate une ignorance croissante du public vis à vis des fruits et légumes. Cette ignorance des origines, des modes de production, s'accompagne aussi d'une perte de savoir-faire culinaire. Si on veut encourager la consommation de fruits et de légumes, il faut redonner, peut-être dès la maternelle, des leçons de cuisine !
Passionné par le marketing, la communication et la vente (voir le site aab-consultants.com), il me semble évident que le secteur des fruits et légumes manque terriblement d'innovation en terme de proposition de produits et de donner envie aux consommateurs d'y gouter.
C'est en effet dommage, car chargés de tradition, d'histoire et de bienfaits pour la santé, les fruits et légumes meritent beaucoup plus et mieux que ce que l'on veut bien nous raconter sur eux aujourd'hui.
Mais c'est peut-etre volontaire, pour un jour nous faire avaler des pilules alimentaires......sous forme de courgettes, de carottes...
Ah si nos grands-mères nous lisaient, elles en seraient malades, elles qui spontanément connaissaient parfaitement les qualités nutritives de ces aliments.
la violence est liée à l'éducation et l'éducation est liée à l'alimentation. Un enfant mal nourri ne maitrise pas son attention, et il est en échec scolaire.Vous avez raison, les population à bas revenu ne savent pas et ne puvent pas nourir convenablement leurs enfants...
A propos de votre "troisième action correctrice"le système d'information par produit pourrai etre accompagné de l'outil informatique. La mére entrerai, tous les aliments ingérés par l'enfant et l'ordinateur aditionerai toutes les vitamines et éléments minéraux, puis les comparerai avec l'apport nutritionel recommandé.Il afficherai ensuite les carences...et les aliments qui les comblent.
sans oublier que la cuisson détruit les oméga 3, que le calcium n'est fixé qu'avec certaine association...
La première de vos actions correctrices:"bas prix dans les produits frais"
le scandale de la pomme: la surproductio, d'abord européenne puis mondiale, risquait d'entrainer une baisse des prix...
ainsi les groupements de producteurs (qui concentre l'offre) ont inventé le retrait (8.8euro/100Kg). La réforme de 1996 a choisi de limiter à 8.5% les pommes auretrait.Tout était bien pensé, sauf que...
Bruxelle gère les imports/exports.
Mme giselle gautier à adressé une question à Mr le ministre de l'agriculture et d la peche:"Au 30 juin 2005, le site des douanes de l'nion européenne recensait 276000tonnes de pommes importées, alors que plusieurs autres sources faisaient état d'environ 700000tonnes.A ce jour, il est probable que ces importations atteignent, malheureusement, un million de tonnes de pommes...des pommes néo-zélandaises, ou chiliennes sont proposées à la vente à des prix qui oscillent entre 3 et 8 euros les 18KG. Ces prix ne couvrent meme pas les couts de transports§ il s'agit donc de toute évidence d'un dumping, contre lequel il convient d'agir au plus vite. La situation des producteurs est catastrophique.Les importation en provenance de l'hémisphère sud arrivant traditionnellent en mars. Cela laisse cinq mois pour commercialiser la récolte européenne, ce qui est matériellent impossible."
Mr le Président donne la parole à Mr Dominique Bussereau:"Mme la sénatrice , vous avez raison d'évoquer ces difficultés. Alertésau mois de juin sur cette situation, mes servicesont ont immédiatement saisi la commision de l'union européenne...La commission a effectivement reconnu, mais un peu tard, des erreurs de comptabilisation..."peut etre pourrons nous appliquer"le principe de préférence communautaire au primptemps prochain...au delà des aspects juridiques, j'ai débloqué, dès le début du mois de septembre, une enveloppe de 1.5 million d'euros pour des mesures de promotion de la pomme , notament à l'exportation."
donc nos pommes partent au retrait(détruite, écrasé par lesz tracteurs). On consomme des pommeschinoises ou chiliennes et on a 1.5 millio d'euros pour brader les notres...peut etre les vendrons nous en chine ou au chili!!
il me semble que la grande distribution pourrai mettre fin à ces aberrations. Mr Leclerc, ne pourriez vous faire un "pacte avec les paysans",qui, à la différence de celuide Nicolas Hulot, serai réalisable?
réalisable, mais difficile (beacoup plus difficile que de nager le crawl).
alain, maitre nageur au club med.

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