Classement des écoles de commerce NEOMA
SOCIÉTÉ Bloc-notes

Ecoles de commerce : NEOMA en 7ème place du classement Challenges

C’est impressionnant. La relève qui a intégré ce trimestre la trentaine d’écoles de commerce françaises atteint 7.500 élèves !

Pas étonnant que beaucoup de journaux leur consacrent des dossiers spéciaux, ces établissements avec prépa ou formation post-bac connaissent un regain d’intérêt formidable.

L’hebdo Challenges dans sa dernière édition leur consacre un classement ! Le palmarès hiérarchise 26 établissements : tous sont reconnus par l’État, appartiennent à la Conférence des Grandes Ecoles et délivrent un grade de master.

Leur évolution m’intéresse. Je vais souvent rencontrer les étudiants dans les écoles citées. Des liens sont tissés, comme par exemple entre Audencia et le Groupement d’Achats E.Leclerc (formation diplômante), la Chaire "commerce 4.0" de Leclerc - ESCP Europe.

Carrefour et Auchan entretiennent de multiples relations avec l’Edhec, HEC ou l’Essec. Quant à l’ECAL de Rouen, elle a fournit des centaines de cadres et plusieurs patrons à E.Leclerc, Intermarché ou Système U.

Aujourd’hui, ces écoles abritent des incubateurs de qualité. A leur demande, j’ai récemment visité ceux de NEOMA à Rouen et à Reims. Dans Challenges, Delphine Manceau, la directrice générale de NEOMA rappelle l’intérêt de ces programmes : "la combinaison entre une très solide formation aux humanités, langues et maths, avec ensuite une très solide formation en management, une expérience internationale, et des relations avec les entreprises en école".

Des pépinières de start-up, en mode convivial ! Moi qui suis un pur produit de l’université (Paris 1 Panthéon-Sorbonne), j’aurais adoré cet éclectisme, cette ouverture !

Au passage, je m’aperçois que mes amis de NEOMA ont fait un bon de quatre places au tableau d’honneur. Preuve que si ces classements sont souvent contestés, ils génèrent une stimulante émulation. A suivre et à lire dans Challenges !

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3 Commentaires

"Ouvrir une école, c'est fermer une prison!"
Qu'elle soit de Victor Hugo (assez douteux) à qui cette citation est attribuée ou bien d'un un autre, peu importe, le sujet demeure bien d'actualité, la formation, l'éducation, c'est l'avenir, et pas seulement l'avenir personnel de ceux qui peuvent suivre les enseignements de telles écoles, c'est l'avenir du collectif et du bien-vivre ensemble!
Vous avez bien raison de nous parler de cela et nous relayer ainsi ce "marronnier" de la presse magazine, pour une fois un peu intéressant.
Bonnes fêtes de fin d'année à vous et à tous vos lecteurs.
Intéressant.
Serait-ce à dire que des étudiants de plus en plus nombreux seraient intéressés par le commerce? Avez-vous constaté un changement ; ou bien est-ce toujours le même sujet de confusion entre l'appellation "école de commerce" et le fait que beaucoup de leurs étudiants se forment davantage à la gestion et à la finance?
Merci beaucoup pour votre point de vue.
Si la qualité des écoles existe bien, et de plus la motivation et le niveau très élevé des élèves font de cette matière commerciale affaires une véritable force et puissance sur le marché pour réaliser correctement l'activité, et les contrat. Il faut aussi Penser aussi aux contraintes et dangers du marchés et de certains intervenants dangereux et intéressés et sans morale. Le commercial ne se limite pas au marketing à la vente ou l'ingénierie d'affaires, il est aussi question de confrontations difficile voir physique avec des intervenants aguerris, spécieux aussi en tout genre capable aussi de s'accaparer le marché pour leur gouverne sans le moindre scrupule ni intention pour l'intérêt général et donc aussi des intérêts des uns et des autres diplômé ou pas ! il faut donc n'ont pas en faire des soldats bien que l'intérêt général a aussi son mot à dire, merci aussi pour ce blog, et des formations avertis justement sur les véritables réalités des marchés et de ses valeurs, mœurs, morales souvent spéciaux dangereux autant français qu'en relation internationale direct de quoi "éliminer certains prétendant aux contrats commerciaux" et de leurs commissions et rémunérations ! former des commerciaux mais aussi créer les marchés avec d'autres niveaux comme le management et la gouvernance ce qui n'est pas assez actuellement ... merci MEL !

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