ÉCONOMIE Engagements

Monsieur le Président, osez la mobilité électrique pour tous !

Pour ceux qui l'ont ratée, je reproduis ci-dessous une libre opinion parue dans Le Journal du dimanche du 2 juin, portant sur la mobilité électrique.

Le débat national sur la transition énergétique est en cours et la ministre de l’Environnement, Delphine Batho, en attend des propositions innovantes. Pendant ce temps, son collègue Arnaud Montebourg s’échine à promouvoir la voiture électrique sur laquelle se positionne notre industrie.

Des centaines de collectivités territoriales font désormais le pari de la mobilité électrique. Les fleurons de l’économie française et de nombreuses PME produisent véhicules, bornes de recharge, réseaux intelligents de distribution d’électricité. Et pour une fois, nous avons de l’avance sur nos concurrents internationaux.

L’Etat vise un parc de 2 millions de voitures électriques d'ici à 2020, mais on est loin du compte. A la fin de l’année 2012, le parc de véhicules électriques était estimé à 20 000, soit trois fois moins que les prévisions. Qu’est-ce qui bloque ?

Les enquêtes d’opinion le montrent : les Français sont séduits, mais hésitent à se lancer par peur de « la panne sèche ». Et on comprend leur crainte : de la mise en place de 75.000 bornes de recharge prévues par l’Etat pour 2015, la prévision est abaissée à 30 000 et à peine 8.000 seront opérationnelles à la fin de l’année.

Nous sommes face à une situation absurde. Le faible nombre de bornes de recharge existantes n’incite pas les Français à passer au véhicule électrique. A l’inverse, l’infime nombre de voitures électriques en circulation n’encourage pas les acteurs privés (stations-essence, centres commerciaux…) à s’équiper en bornes.

Pourtant, les avantages que procurerait un développement massif du parc automobile électrique sont nombreux : santé publique, autonomie énergétique…

Si le gouvernement croit en la mobilité électrique, alors il y a urgence à déployer les bornes de recharge sur le territoire.

On nous rétorque que le financement des bornes de recharge n’est pas une priorité au regard des maigres crédits de l’Etat. Parfaitement d’accord ! C’est la raison pour laquelle je propose de réformer le dispositif des Certificats d’économie d’énergie (C2E) !

Actuellement, les distributeurs d’énergie compensent leur bilan écologique en rachetant des C2E à des entreprises ou des particuliers qui font des travaux d’économie d’énergie.

Si demain le gouvernement modifiait son décret pour préciser que les bornes de recharge sont éligibles à la production de C2E, des dizaines milliers de bornes seraient installées en quelques mois.

On pourrait aller jusqu’à intégrer dans ce dispositif les bornes installées au domicile des particuliers. Il n’y aurait alors aucune discrimination par le revenu entre les automobilistes français qui souhaiteraient faire le pari de l’électrique.

Cette réforme des C2E est simple, souple et peut être mise en œuvre extrêmement rapidement. Elle pourrait même être expérimentée sur une période limitée, afin d’amorcer le mouvement.

Et elle ne coûterait pas un euro au budget de l’Etat. Au contraire même, elle permettrait de faire l’économie des subventions actuellement versées par de nombreuses collectivités locales aux acteurs privés pour qu’ils installent des bornes. C’est une logique gagnant-gagnant. Pourquoi attendre plus longtemps ?

18 Commentaires

Y en a marre de vos reflexions sur tel ou tel sujet qui n'a rien à voir avec votre domaine...à savoir le supermarché. Les gens viennent faire leurs courses chez vous par soucis de proximité, d'habitude et peut être pour trouver moins cher. Et non pour vos thèses sur l'action que devrait ou pas lancer le gouvernement. Si vous êtes si malin, MONSIEUR Michel Edouard LECLERC, lancez vous en politiques !!!!! Laissez vos états d'ames au rayon approprié..peut être culture / littérature, car à vous écouter et à vous lire, on se prendrait à rever au monde des Bisounours
Merci pour vous suggestions. Fort heureusement, vous n'êtes pas obligé(e) de me lire :-) MEL
Jul: Ceci étant, la proposition de M.E.L a le mérite d'apporter une pierre à l'édifice.

Etant moi même dans le business de l'énergie (en plus d'être entrepreneur => good-spot.com), je peux vous dire que le problème de l'infrastructure électrique pour véhicules EV est connu depuis longtemps: c'est celui de la poule et de l'oeuf... et tous les débats sur le sujet entre industriels et pouvoirs publiques n'ont pas vraiment apporté de solutions au manque de moyen de l'état (qui serait ici le seul à pouvoir pousser à l'émergence d'un début d'infrastructure EV, car le modèle économique de la voiture l'électrique ne le permet pas par lui même). Alors utiliser le dispositif C2E, pourquoi pas!

ps: Mais oui, à quand la politique ??? :)
En tant qu'utilisateur de véhicule électrique au quotidien, je trouve pertinent cette proposition. En vacances cet été dans le sud ouest j'ai été trés satisfait de trouver des bornes de recharge dans les centre Leclerc sur mon parcours, et je déplore que les bornes de recharge sont inégalement réparties sr le territoire, par exemple le département de Seine et Marne ou je réside, a plusieurs Centre Leclerc sur son territoire et aucun des Supermarchés présents n'a de borne sur son parking. Peut être que la mesure proposée compenserait le désengagement de l'état dans ce domaine !
Monsieur,

Je ne suis pas du tout en accord avec Jul.
Et je trouve par ailleurs fine et intelligente la réponse que vous lui faite. Au contraire moi je pense que ce qui fait la différence quelque soit votre métier, c'est la personne que vous êtes dans la vie. Même si votre métier est lié mettons, à l'éducation (dont on pourrait souligner que c'est radicalement différent du métier de vendeur), eh bien vous pouvez le faire sans génie, sans esprit d'ouverture, sans humanité, sans chercher à être acteur monde.

Moi je suis toujours frappé dans vos magasin par une forme de respect qu'on les salariés, les sourires, l'attention et l'écoute comme je ne vois jamais ailleurs. Pardonnez moi de vouloir croire que ce petit quelque chose qui fait à coup sur la différence, dépends de l'éthique de la société. Et l'éthique de la société, dépend elle de celle de ses dirigeants.

Je lis de temps en temps les pages de ce blog. Je trouve ça pertinent que des idées soient ainsi développés, même si je peu être amené, à peut être, ne pas partager un opinion dans l’océan des autres opinions. Je trouve cela intéressant au delà de ce qui fonde le professionnel qui à un boulot à accomplir.

J’envoie ce pavé parce qu'en fait monsieur, il y à un moment déjà que je cherche par tous les moyens à entrer en contact avec vous.
La raison pour laquelle je cherche à vous rencontrer, c'est pour vous parler de culture, de mécénat culturel et particulièrement d'un projet que nous défendons avec beaucoup de difficulté sur le terrain. Un projet artistique qui à fait ses preuve devant le public et qui œuvre entre la réussite éducative, la découverte du théâtre et l'éducation culturel.

Ite missa est – la messe est dite. Libre à vous de me répondre et de prendre contact, si le cœur vous en dit.
Pour le reste, je vous souhaite agréable continuation.
Cordialement,
Alexi.
Envoyez-moi un dossier, je promets qu'il sera étudié ! (26 quai Marcel Boyer 94859 Ivry Sur Seine). Bien à vous. MEL
Monsieur.
Ne croyez vous pas qu'il est temps de s' installer en Tunisie ? . Surtout que le gouvernement tunisien encourage la construction des hypermarchés .Merci de me répondre sur mon mail , a fin de vous décortiquer mon idée. Je vous souhaite bonne réception
Monsieur,
J'accuse tardivement réception de cette réponse. Cependant elle me touche et je vous fais suivre dans l'après midi un dossier de notre projet.
Il s'agit d'une libre proposition de spectacle mêlant la vie et l’œuvre de Molière.
Je vous en souhaite bonne réception.
Cordialement.
n'en déplaise à Mister Jul, je crois qu'au contraire, votre proposition est on ne peut plus pertinente devant l'incroyable immobilisme dont est victime le VE de la part des pouvoirs publics!
Si M.E.L est prêt à s'engager en faveur du VE moyennant la récupération de CEE, pq l'en empécher??? Pour continuer à brosser dans le sens du poil la splendide moustacle de Ch. de Marjorie? Pour continuer à faire plaisir aux constructeurs automobiles ancrés dans le XXème S., incapable de voir l'avenir autrement qu'à la sauce "tout gazole"? ...

Cher M.E.L, je salue votre combat! En espérant qu'il sera entendu par notre fleuron nationale de la prod. électrique "bas carbone" dont on peut qd mm s'étonner qu'il ne soit pas plus incisif que cela vis-à-vis de son actionnaire principal pour faire avancer sérieusement ce dossier des infra électriques, véritable réseau sanguin indispensable à la réussite future de la mobilité électrique.

Faudra t-il en arriver à supprimer 95% des stations services qui distribuent auj. du pétrole pour faire comprendre à nos chers décideurs le caractère hautement indispensable d'une infra électrique digne de ce nom pour faire - enfin - décoller le VE???

Si je peux me permettre une suggestion, si ce n'est pas déjà fait, rapprochez-vous des instances décisionnelles bretonnes sur cette question... la Bretagne a de solides atouts pour devenir leader de la mobilité électrique malgré une prod° électrique encore modeste / à la conso (patience, patience...) ... à commencer bien sûr par être le lieu de naissance du mouvement Leclerc! :o
Salut Mel!

Si aujourd'hui on me pose la question: Quel est le programme de développement de notre président, je suis incapable de répondre. Pourriez vous m'aider à combler ma carence?
C'est un fait avéré un français normalement constitué n'est jamais content. Cela fait un point commun avec l'automobile puisque la première voiture électrique se nomme "la jamais contente".
Derrière ce retard à l'allumage, ne se cache-t-il pas un problème de modèle économique? Est-ce que la voiture électrique proposée actuellement est le modèle qui bénéficie de la dernière technologie ou existe-t-il des prototypes plus évolués qui pourraient bénéficier de capacités supérieures capable de remettre en question l'usage de bornes de rechargement?
Pour m'être rendu au Leclerc de Levallois et avoir constaté le succès d' autolib, n'est-il pas dans un premier temps intéressant de constituer un maillage d' autolib avec des voitures présentes sur tous les parking Leclerc de France pour ainsi favoriser le mode électrique et le partage de l'utilisation de la voiture pour de longues distances?
Je suis persuadé que le développement de la voiture électrique est une priorrté des responsables des grandes villes. Lors d'une de mes pérégrinations j'ai croisé madame Anne Hidalgo candidate à la mairie de Paris dans une voiture hybride.Alors c'est quoi le hic?
Cher M.E.L., je vous invite à venir essayer un bateau électrique très innovant, avec lequel je cherche à rendre la plaisance vraiment accessible et démocratique (facilité d'utilisation, économique à l'achat et à l'usage, accessible aux PMR y compris au poste de pilotage, et évidemment sans rejet ni bruit). Ce serait avec plaisir que je vous laisserai prendre les commandes du bateau pour que vous jugiez par vous même de ses performances et de son potentiel. Cordialement. RC (site web : www.glisselec.com)
autre suggestion : pq ne pas ajouter dans la balance des négo C2E le fait que M.E.L soit prêt à s'engager sur l'installation d'ombrières solaires et/ou de petites centrales solaires PV qui contribueraient très concrétement à couvrir, au moins partiellement, les besoins en électricité des futurs VE en circulation?
L'association solaire PV + VE faisant sens à de très nombreux points de vue (y compris lorsque les panneaux en question proviennent de Chine étant donné la part de la VA qui reste en France, y compris pour les grandes installations mais ça je vous laisse le soin d'essayer de le faire comprendre à M. Montebourg...), le surcoût engendré par ces futures centrales seraient assez facilement répercutable sur le coût d'accès au service de recharge avec, cerise sur le gateau, la possibilité de vendre de l'énergie "verte" moyennant un petit complément (?).
Pour tout complément d'information sur le sujet, n'hésitez pas à me contacter par courriel. C'est avec plaisir que j'y réponderais et, le cas échéant, m'associerait autant que possible pour faire aboutir un projet pilote sur un (ou plusieurs) magasin(s) Leclerc implanté(s) en Bretagne.
Cordialement,
G. PORCHER
Salut Mel!
Voilà un article paru dans le monde.fr de ce jour, pour apporter un souffle supplémentaire à vos propos. Il y a de quoi faire tourner une éolienne!!
Il y a comme qui dirait une opposition d'intérêts écologiques, économiques et financiers. Face à ce genre de situation j'aimerais connaître vos solutions en tant qu'écologiste, économiste, financier et commerçant. Et si vous étiez ministre quelle décision seraient prises à ce sujet?

"Les grossistes français confrontés aux prix négatifs de l'électricité

Payer pour vendre. Si cela paraît absurde, ce n'est pourtant pas rare. Peu habituée à ce phénomène, la France est à son tour rattrapée par les prix négatifs de l'électricité sur les marchés de gros.

Dimanche, le mégawattheure (MWh) s'est échangé au prix négatif de - 40,99 euros sur la Bourse de l'électricité, Epex-Spot. Selon le cabinet de conseil Sia Partners, le MWh a même chuté à - 200 euros pendant quelques heures dans la matinée – un record pour l'Hexagone. Au total, quatorze heures de prix négatifs ont été observées dimanche, soit déjà bien plus que les dix heures enregistrées sur l'ensemble de l'année 2012.
Ce phénomène est-il courant ?
La France, peu coutumière du fait, est pourtant loin d'être isolée. Des prix négatifs ont également été observés dans d'autres pays européens, comme l'Allemagne (- 3,33 euros le MWh dimanche), la Belgique (- 40,99 euros), observe la Bourse Epex-Spot dans un communiqué publié lundi.

L'Espagne et le Danemark sont eux aussi régulièrement touchés. Tous ces pays ont un point commun : celui d'être de grands producteurs éoliens ou solaires.

Quelles en sont les causes ?
Dans son communiqué, Epex-Spot explique ces prix négatifs par un surplus de production, causé d'une part par des températures douces et d'autre part par des niveaux élevés de production d'énergies dits "non flexibles" (nucléaire, hydraulique, éolien, photovoltaïque), c'est-à-dire à la production peu, voire pas, modulable en fonction de la demande.

L'électricité solaire ou éolienne bénéficie en effet d'une "priorité d'injection", c'est-à-dire qu'elle est écoulée en priorité sur les réseaux électriques, devant les autres moyens de production – ce qui oblige les distributeurs à l'acheter.

L'énergie propre est de plus subventionnée, et produite à coûts fixes, ce qui incite les exploitants à surproduire, même quand la demande est faible. Par conséquent, les prix de gros de l'électricité en Europe sont tirés à la baisse durant les pics de production éolienne ou solaire, jusqu'à devenir négatifs, de manière ponctuelle.

Quelles en sont les conséquences ?
Pour Sia Partners, ce phénomène "met à mal le difficile équilibre des marchés européens de l'électricité", et notamment la rentabilité des centrales à gaz, comme l'illustre la multiplication des fermetures ou mises sous cocon d'installations en Europe (dont trois centrales à gaz françaises de GDF Suez).

En effet, en période de prix négatifs, leurs propriétaires doivent payer pour écouler leurs électrons, ou stopper leurs installations, qui tournent donc de moins en moins. Or, "quand il n'y a pas de vent et pas de soleil, il faudra bien produire avec des centrales d'appoint, et si tout le monde les ferme, on risque de se retrouver face à un problème insoluble", prévient Cédric Jeancolas, de Sia Partners.

Selon lui, le consommateur est loin d'être gagnant. D'un côté, il participe au financement des subventions aux énergies renouvelables, et de l'autre, il paye les "pots cassés" : lorsque des producteurs d'électricité doivent payer pour écouler leur production, cela finit par se répercuter sur les factures."

Nous comptons sur vous!
Bonjour MEL
Je crois que j'irais plus loin,les supermarchés pourrait participer à la transition énergétique plus activement.
Par exemple:
Economiser de l'énergie en installant des panneaux solaires sur les toits (alimentation des éclairage et des prises de rechargement des voitures électriques,par exemple ,pour ne citer que celà).
Je connais même un centre commercial (Gonfreville l'Orcher 76000) où une éolienne de forte puissance pourrait servir à l'énonomie d'énergie d'une part et de "signal" d'appel aux touristes (avec un éclairage adapté) d'autre part,le centre étant situé sur une falaise juste devant Honfleur où il y a un autre centre mais plus petit.
Bonjour Mel
Vous pourriez commencer à participer à polluer moins, assez aisément, en faisant adhérer vos centrales d'achat et donc vos transports routiers (pollueurs n°1) au projet piloté par l'Adem "Objectif CO2" de réduction d'émissions de CO2. A ma connaissance aucune de vos centrales d'achats n'a encore adhéré. Voilà du concret à votre portée !
Monsieur,

Le défi de la large diffusion des véhicules 100% électriques en France et dans le monde comme vous le savez est conditionné par l’ampleur d’autonomie, l’insuffisance des bornes de charge et les prix de vente élevés.
Une grosse part du cout des véhicules électriques réside dans l’ensemble des batteries qui sont obligatoirement très importants si l’on désire octroyer un peu plus d’autonomie au véhicule. Malheureusement, qui dit plus de batteries dit accroissement du poids et augmentation du prix du véhicule. La solution actuelle est d’adjoindre un système de prolongateur d’autonomie sous la forme d’un petit moteur à essence ou diesel, doté d’un alternateur, lequel redonne une autonomie un peu plus confortable. Ses ensembles fonctionnent bien mais ils restent très couteux et polluants.
Devant le manque récurrent d’autonomie, et des solutions insatisfaisants ayant le recours au moteur à combustion, j’ai cherché la possibilité de récupérer de la charge des batteries en roulant, tout en évitant la diffusion du CO2 génère par des mécanismes à moteurs thermiques.
Effectivement, je suis concepteur d’un appareil qui palliera au manque d’autonomie des véhicules électriques, en recyclant la charge en roulant, au lieu d’on rajouter des batteries supplémentaires, en ajoutant du même coup beaucoup du poids additionnel et majorant le prix du véhicule.
Etant un inventeur de condition modeste ne disposant d’aucuns moyens de production, j’essaie d’attirer l’attention sur mon invention, breveté sous les N° FR2985229-A1, EP 13290155.1, basé sur le principe des ressorts-moteur, lesquels constituent en-soi, des accumulateurs d’énergie très facilement rechargeables, qu’ils furent largement employés avec le succès que l’on connaît, dans nos horloges et les clochers.
Correctement proportionnés et adaptés pour l’automobiles, ils sont la solution qui rendrait le véhicule électrique plus attractif à l’achat auprès des consommateurs, car cela garantirait de l’autonomie confortable au véhicule 100% électrique, comparable aux véhicules thermiques, mais sans émission du CO2, ce qui assurerait la validité technologique en diminuant le volume des batteries abaisser les coûts de la production, pour la pérennité économique du véhicule électrique.
Depuis très longtemps je me heurte aux refus et même à l’hostilité de la part des fabricantes d’automobiles, désireux de garder en production les véhicules hybrides, équipés des moteurs thermiques additionnelles et consommateurs des produits pétroliers, alors que les financiers sont toujours trop prudents pour aider l’éclosion de nouveaux concepts, émanant des inventeurs indépendants.
L’aide la réalisation des prototypes en vue d’examen de la faisabilité du concept et le financement de premières séries de l’appareil SPRING-FORCE, permettra le développement d’une entreprise de fabrication et la distribution d’un prolongateur d’autonomie, permettant de diminuer le volume des batteries et du fait le prix du véhicule électrique.
Connaissant, votre sensibilité pour l’environnement et militant dans le sens de la voiture électrique. Je me permets de vous écrire, afin que vous pussiez examiner la possibilité de m’assister en vue d’obtenir une aide, un mécénat, subvention ou d’autre financement pour le développement d’un nouveau concept de prolongateur d’autonomie pour véhicules électriques, dans le but de promouvoir le système en organisant un tours de France passaient un minimum de temps aux bornes de recharge, tout en embarquent le minimum des batteries.

Très sincères salutations,

C. Badanjak
Bonjour Monsieur LECLERC, Il existe également une méthode de propulsion pas du tout polluante sur son action immédiate il s'agit de la propulsion à air comprimé réalisée par un ingénieur français Monsieur G. NEGRE (voir le site www.mdi.lu)
pour le moment une seule voiture est à la vente l'airpod.
quand proposerez vous de l'air comprimé, carburant de ces voitures.
Respectueusement MANFRINI
Dans l'accès aux carburants écologique pourquoi ne aussi prendre de vitesse et briser les conformismes en investissant dans des pompes à hydrogène solide (entreprise Mcphy en recherche d' investisseurs) pour faire des centre Leclerc des points de ravitaillement en électricité et hydrogène pour les véhicules dit "écolo" en apportant un service supplémentaire et en même temps acquérir un système de stockage d'électricité pour des panneaux solaires sur les immenses toits inutilisé de vos magasins voir pour commencer les abris pour caddys. Certes des investissement pouvant être lourd mais des économie d'énergie en perspectives et encore une possibilité d'être un pionnier.

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