Précarité menstruelle
SOCIÉTÉ Santé

E.Leclerc s'engage contre la précarité menstruelle

Parler des règles est souvent considéré comme un exercice périlleux, car c’est un sujet tabou.

Et pourtant, la précarité menstruelle concerne en France plus de 2 millions de personnes, et près de 10% des Françaises renoncent à changer de protections périodiques autant que nécessaire, faute de moyens.

L’enseigne a donc décidé de se mobiliser avec deux temps forts. En mars, E.Leclerc a mis en place des kits hygiène à prix cassés.

Le 2e volet du plan d’action se déroulera ce week-end dans les magasins E.Leclerc, en partenariat avec des marques (Love&Green, Nett, Vania, Always et Intimity Care).

Grâce à la mobilisation des bénévoles des Banques Alimentaires et de l’Association Règles élémentaires, une grande collecte sera organisée les 28 et 29 mai. Les clients pourront faire des dons de serviettes hygiéniques, tampons, protège-slips, culottes menstruelles et cups, qui seront ensuite redistribués aux bénéficiaires via un réseau de plus de 6.000 partenaires locaux.

La précarité menstruelle a des répercussions importantes sur la vie sociale, scolaire et professionnelle, et peut générer des troubles physiques et psychologiques. C’est donc un sujet à fort impact sociétal, générateur d’inégalités sociales et en cela, il doit mobiliser tout le monde, et pas seulement les femmes.

Des politiques (de tous genres et de tous partis) se mobilisent sur cet enjeu : le gouvernement et des régions ont annoncé des actions concrètes dans les universités avec des dons, et des parlementaires comme le député Aurélien Pradié (qui nous a incités à bouger sur ce sujet) se sont emparés de ces problématiques. Ce n’est qu’un début !

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