Le Cleac’h, Tirole, Pesquet : en bonne compagnie sur LinkedIn !
Le Top Voices 2017 des influenceurs sur LinkedIn m’accorde une petite place aux côtés de belles personnes.
Je pense à Armel Le Cleac’h, avec qui j’ai eu la chance de naviguer en rade de Brest, Thomas Pesquet, généreux pédagogue, ou encore Jean Tirole, ce Nobel qui décoiffe l’économie classique. Mais c’est avec humilité que je veux continuer à échanger sur Linkedin.
LinkedIn, c’est encore tout neuf pour moi (10 mois !). Mes collaborateurs et amis vous le diront : j’éprouve un réel plaisir (intellectuel et affectif) à échanger sur ce réseau. Je suis perpétuellement en mode push, malgré un bail déjà bien rempli dans l’entreprise.
J’ai l’impression d’être resté une sorte d’étudiant jamais fini : ça chauffe sous le capot, même si les artères sont un peu à la peine. Je poste, j’ai besoin de confronter les critiques, les idées, les humeurs. Il y a cette urgence sociale et écologique d’infléchir les buts et les modalités de l’économie.
J’exprime mes doutes ou nos projets dans les journaux, à la télé ou sur les ondes. J’aurais aimé être prof, j’ai failli être journaliste. Mais parallèlement au micro qu’on vous tend, il faut des lieux de dialogue. Donner, restituer, confronter, c’est le moteur de la création collective. LinkedIn est une école d’humilité et de synthèse. Je ré-apprends ! Alors, influenceur ? Peut-être, mais en tout cas, c’est réciproque.
J’écoute et je lis des personnalités comme Pierre-André de Chalendar, PDG de Saint Gobain, la dynamique Sophie Bellon, ou encore Bertrand Piccard qui incite à nous élever (en intelligence et en moralité). Mais que ce soit clair : je lis tout autant les analyses et les idées des nombreux DRH, des consultants, des managers de l’économie, du sport ou des arts, que des salariés ou des gens de métiers passionnés qui s’expriment sur LinkedIn.
Merci à tous. Votre considération m’oblige à encore plus de responsabilités. Vous pouvez aussi compter sur mon écoute.
Fidèlement votre.
Mel.
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