SOCIÉTÉ Actus / Débats

Obésité infantile : plus de friandises sucrées pour enfants aux caisses

 Je me suis attiré les foudres du Président de l’ANIA, Jean-René Buisson. Son association d’industriels « juge intolérable la décision prise par les Centres E. Leclerc, la semaine dernière, de retirer les confiseries sucrées pour enfants des présentoirs de caisses, d’ici le 1er juin ». Et l’ANIA m’a fait l’honneur d’un communiqué au vitriol, suspectant ma petite personne de vouloir en revenir « à l’économie administrée des magasins d’Etat » ? 1) De quoi parle-t-on ? En septembre 2007, l’association de consommateurs UFC-Que choisir a lancé une campagne sur l’obésité infantile « Obésité : protégeons nos enfants ». Après avoir demandé aux parlementaires d’interdire la publicité TV pour les produits gras et sucrés au sein des programmes pour enfants, l’UFC interpellait toute la filière et sollicitait les distributeurs pour « juguler un marketing outrancier à l’égard des enfants, incitant à la surconsommation de produits sucrés ». L’association demandait le retrait des produits installés de manière trop tentatrice au devant des caisses. Le gouvernement français et les autres gouvernements européens sont interpellés de la même manière. Ainsi, les Anglais ont interdit les publicités pour les aliments gras, sucrés et salés dans les programmes destinés au moins de 12 ans. Les Suédois, eux, ont totalement interdit les publicités pendant les émissions jeunesse. Le Ministre français de la Santé, Roselyne Bachelot, a annoncé, le 4 février, une série de mesures dans un premier temps basées sur l’autodiscipline et le volontarisme des acteurs concernés. Avec une deadline fixée en juin pour apprécier les propositions et les résultats éventuels. 2) Les réponses des industriels et des distributeurs Tout le monde convient de l’importance du fléau. 13 % des jeunes Français sont en surpoids, dont 7 % atteints d’obésité. Le mouvement ne fait que s’accélérer. Outre que l’obésité hypothèque l’espérance de vie des individus, elle préfigure une charge supplémentaire pour la collectivité. Les industriels ont d’abord réagi viscéralement. « Consommés modérément, les produits sucrés ne sont pas dangereux. On n’est pas chez les Soviets. Les pouvoirs publics ne peuvent montrer du doigt et diaboliser le sucre ou tout autre produit festif à base de sucre tout simplement par qu’ils ont été surconsommés ». Ou alors disent-ils, il faut aller jusqu’au bout du raisonnement : supprimons la vente d’alcool puisqu’il y a trop d’alcooliques, supprimons le rayon des crèmes desserts et des fromages pour que plus personne ne mange des produits trop gras. Derrière ce débat qui prend des airs trop passionnés et caricaturaux, il y a bien sûr des lobbies qui cherchent à forcer le trait. Je concède cependant que : 1) Industriels et distributeurs ont raison de dénoncer la tentation des pouvoirs publics de refiler la gestion des problèmes de santé au secteur privé alors qu’elle doit d’abord émaner de l’Etat (ne serait-ce que, justement, pour qu’elle ne soit pas dictée par des intérêts privés). 2) L’origine de l’obésité est multifactorielle. Si l’on veut s’attaquer à la source, il faut mettre en place un plan de prévention global : auprès des parents, à l’école, dans les médias. Bref, chacun doit agir à son niveau de responsabilité. 3) La position de mon enseigne Nos cadres et nos adhérents ont eu le même réflexe que les autres professionnels. Pas question de se laisser refiler la gestion exclusive d’une problématique qui nous dépasse. Mais le dossier de l’obésité infantile rejoint celui, plus global, de la nutrition, du « bien manger » dont nous sommes évidemment un acteur à part entière. Le distributeur doit pouvoir garantir le libre choix, mais rien ne l’empêche à travers ses gammes, ses choix marketing et publicitaires, d’adapter son offre commerciale à une demande sociale dès lors qu’elle est incontestée. C’est même un gage de sa performance commerciale future. J’ai engagé mon groupe depuis trois ans pour revoir à la hausse tous les critères qualitatifs, gustatifs et sanitaires de notre offre alimentaire. C’est un travail de longue haleine (probablement 3 ou 4 ans pour arriver à des résultats significatifs). Par exemple, tous nos produits à Marque Repère voient leur étiquetage reprécisé, leur lisibilité améliorée, et les recettes des produits sont retravaillées pour diminuer les taux de sucre, de sel et de gras. Des nutritionnistes sont mobilisés sur ce projet, et des instruments pédagogiques à l’égard des usagers ont été mis en place (http://www.e-leclerc.com/marquerepere/Nos-valeurs/Accueil.aspx). C’est dans ce contexte que sans se référer à une quelconque morale anti-festive, nous avons décidé de recaser les produits concernés dans l’offre classique de l’hyper d’ici le 1er juin. 4) Etoffer l’action Il y a certes un enjeu commercial (manque à gagner situé entre 5 et 10 millions d’euros par an). Mais si elle restait isolée, nos adversaires auraient beau jeu de qualifier cette action de publicitaire. Aussi ne faut-il pas s’arrêter là. Dans les semaines qui viennent, mon enseigne va lancer la recherche de produits de substitution, plus diététiques. Les magasins recevront des PLV informatives et pédagogiques expliquant cette action aux clients. Enfin, j’ai demandé à ce que l’enseigne s’engage plus fort encore sur des recommandations nutritionnelles et sur la valorisation des bons comportements alimentaires. Voilà donc ce qui me vaut le courroux de quelques apparatchiks du lobby de la malbouffe. Je ne donnais pourtant de leçons à personne, je les appliquais à nous-mêmes. C’est le paradoxe de l’ANIA : cette fédération regroupe des industriels qui, depuis 5 ans, et avec succès, ont fait de la santé un argument de vente (Danone avec Actimel, ses alicaments, etc.). Curieux de voir que le discours sur le bien manger devient « démagogique » quand il émane du seul distributeur.

45 Commentaires

il serait temps d'attaquer, les moralisants, pour pollution mentale, les turpitudes des alienés de la bonne pensée nous gonflent passablement au sens ou etre clair et conçis ne semble plus etre d'actualité.
la liberté est constament rognée par la bien "pensence", ce qui nous menent droit aux actes d'associations de type arche de zoe, moralistion et culpabilition du peuple qui se nourri mal pour cacher un probleme d'education et de démission des politiques.
Les politiques nous emmerdent, et n'ont que le seul souci d'etre réelu, pour ce faire le miroir aux alouettes du danger potentiel allié a la terreur mentale, les maintiennent dans un exercice de privations generalisées, il va de soit que ces gens ne font pas en plus leurs courses en supermarché, auxquel cas, ils auraient remarqué qu'il y avait autre chose que des sucreries dans les rayons, est ce que l'on demande a nos politique si une Rolex presente un risque de danger potentiel? apparement non et pourtant si on l'avale, elle peut se reveler dangereuse, bref tout ce fatras pour cammoufler l'ingerence et la hausses des prix, ainsi que et surtout la predominence du droit européen sur le droit français.
le jour ou les politiques auront la peche et l'energie de la musique devellopée peut etre que cela changera, dans l'immediat ce ne sont que des ronds de cuirs, ne valant guerre plus que ceux qui etaient en place lors de leur fuite en 1940.....gouvernement de bordelais pret a fuir.
Bonjour,
Finalement il serait souhaitable que la spéculation sur le sel et le sucre soit à l'ordre du jour.
Ainsi nos chers, très trop chers industriels diminueront ces produits dans leurs préparations.
Facile d'incriminer les parents et de culpabiliser les enfants alors qu'ils ne font que consommer des produits validés comme bon à la consommation.
Pour les mesures pas besoin de décamètre!
Un peu de bon sens suffira.
Sincères salutations
@ géronimmo: tout à fait d'accord!
De plus la connerie c'est qu'en devants de caisse il n'y quasiment rien de sucré en devants de caisse à part les kinder tout le rest est sans sucre...quand on pense que c'est un ministre qui est à la base de çà, c'est déprimant...
Bonjour
Je possede un centre commercial en Algerie Alger a 5mn de l'aeroport d'Alger a 1/4 d'heure du centre ville d'une superficie de 32 000 m² au total composé d'une galerie marchande avec mezzanine d'un hyper marché de 9 000 m² en surface exploitable d'un stock considerable avec des ateliers chambres froides et toutes les commodités et d'un parking pour 800 Vehicules nous terminerons les travaux en juin 2008 cherche une locomotive
Cordialement
Bonjour,Mr Leclerc,
Je vais être hors sujet, mais en fait il s'agit bien d'obésité, mais celle de qui ?
(Pas celle des pompistes).
J'ai mis un article sur mon blog, car nous parlons souvent de l'augmentation du prix du baril (en dollar)du cours de l'euro et ne faisons pas le rapprochement. Qu'en est-il réellement de l'augmentation à la pompe qui est excessive par rapport au cours du pétrole comparé à l'euro...
Voir le petit calcul amateur sur :
http://etatsdame.over-blog.fr/article-17675554.html
Merci de commenter sur mon blog ou de faire un article sur ce sujet que vous maitrisez certainement mieux que moi.Salutations.DT
PS: je ne parle pas de la ridicule polémique de que choisir qui marche à côté de ses "pompes".
Je trouve cette démarche citoyenne tout à fait louable.
Car en effet, comme l'a dit "liberatore", nos comportements alimentaires sont en partie conditionnés par les effets du marketing des industriels et des distributeurs.
Les linéaires obéissent ainsi à des règles d'achalandage qui favorisent le déclenchement de l'acte d'achat. Et quand il s'agit de faire acheter aux parents des sucreries à leurs enfants, qui seront consommées en dehors de tout caractère "exceptionnel" ou festif, cela peut s'avérer dangereux, et compromettant pour les habitudes alimentaires futures des plus jeunes.
Cette décision limite donc les effets pervers de ce marketing, en réduisant l'espace accordé sur les linéaires à des produits peu intéressants d'un point de vue nutritionnel.
Monsieur Leclerc, j'ai parlé de votre initiative sur mon blog. Si vous avez le temps d'y faire un tour : http://paris9cube.canalblog.com
apres les politiues, regardons ce qu'est que choisir, a tout casser 100.000 adherent derriere un president militant, une revue qui tire a quelque exemplaires dont il serait assez facile de demander au MNPP de savoir combien de retour.
le site est assez nul et payant pour la consultation, ce qui lui confere une démarche commerciale, en fait si l'on reprend un article de l'express il s'agit de lobying derriere un president gesticulant, plus ou moins avide de tirage papier
l'autosatisfaction se lit a travers cet extrait du site de que choisir ou la methode releve de l'aléatoire
""Le mensuel Que Choisir (n° CPPAP : 0707 G 82318) est un véritable indicateur sélectif des biens et services, un comparateur exigeant mais juste. Plus de 450 000 abonnés, ce sont chaque mois plus de quatre millions et demi de lecteurs informés.''''
1 abonné = 10 personnes
donc pour etre terre a terre moins de 1% de la population se fait peur avec des articles relevant du marketing de la vente de presse papier sous couvert d'association avec pour fond de commerce:
les industriels vous empoisonnent
les grandes surfaces vous volent
les banques vous endettent
l'audivisuels vous pourris les tympans
gageons que si la drogue se liberalisait on aurait un comparateur du petard pas ces consomateurs avertis.
Donc a la place des sucreries, autant mettre une gondole a chichon et ses accessoires, la propention extreme a nous prendre pour des demeurés est a son comble comment 100.000 adherents peuvent faire croire au reste de la population qu'ils sont utiles au choix d'un lecteur dvd tout en etant des specialiste de la nutrition, comment peuvent ils juger d'une valeur organoleptique d'un produit, avec les 4 ingenieurs qu'ils ont, les techniques sont tellement poussée a l'heure actuelle et ces gens sont dans la capacité d'avoir un jugement sur tout et passer au dessus de commission de specialistes, ils sont vraiment tres forts ou alors comme d'habitude, ils sont les dignes representants du marché éolien.
quel est le montant de la subvention de l'état si il y en a une ? car a ce titre on peut demander la publication des comptes
le lien demontre le serieux et encore une specialité et surtout l'objectif de la vente papier, la quequette en panne l'ufc que choisir vous aide....
Juste à dire un petit mot doux.
Si vous ne voulez pas être gros, mangez en petit quantités- tout ce que vous voulez- ne vous priver pas. Mais à savoir, chez moi tout est fais sur huile, le beurre est banni. Mes enfants mangeant des sucreries, et tout le reste que les nutritionnistes ont envient de nous enlevé. La taille de mes enfants font : garçon – tout le temps entrant de bouger 101cm pour 17kg (3ans et demi) et fille 141cm pour 34 kg (fait la piscine – section compétions – plus de muscles que de graisse). Il y a trop d’occupation pour les gros (ce n’est pas leur faute), qu’il fasse de truc qui sont gratuit, que les gens puisse faire du sport gratuitement.
Peut être avez vous raison d'enlever les sucreries des caisses bien que je n'en soit pas sûr dans la mesure où je pense que tout n'est qu'une question d'éducation.En effet j'ai deux enfants et ne les ai privés de rien mais leur ai appris ce qu'est l'exès et surtout j'ai su leur dire "non" quand c'était nécessaire.
Quant au sucre, si l'eccès n'est pas bon c'est sûrement moins nocif que le sirop de glucose-fructose quel'on retrouve dans divers produits et que notre corp ne reconnait pas comme sucre mais qu'il assimile en tant que graisse: je ne vois pas où est le mieux.
Pour ma part, je trie autant que faire ce peut les produits afin d'écarter le sirop de glucose-fructose de notre consommation et même en cherchant à y mettre le prix, ce n'est pas facile. Peut être y aurait il un créneau à investir.
Bonne journée à vous.
Salut,
Je couperai la poire en deux. Les friandises trop sucrées seraient retirées des caisses. Cependant, certaines friandises sont sans sucre : pourquoi pénaliser des fournisseurs qui ont fait des efforts même si ces efforts sont jugés insuffisants par les pouvoirs publics ? Tous les produits retirés des caisses pourraient être remplacés par des produits régionaux (bonbons au miel ( fabrication artisanal qui sont actuellement en rayon)... Cette division aurait pour but d'annoncer la couleur à tout le monde et de préparer l'économie de demain avec toutes ces exigences, le taux de sucre et l'utilisation de colorant étant les seuls facteurs déterminants pour plus d'objectivité entre les différents fournisseurs.
Tchao M.E.L.
D'accord avec Flo, toute mesure trop radicale n'est jamais bonne. Vous ne devriez pas pénaliser les fournisseurs qui ont déployé des efforts pour proposer des produits allégés et sans sucre...
Bonjour,
L'origine du problème n'est pas là. C'est un peu facile de refiler la cause aux distributeurs. Marketing ou pas, un moment donné on ne force par le client à faire l'achat du produit.
Evidemment, c'est une cible facile - à fortiori au niveau des caisses - et industriels/détaillants l'ont bien compris. C'est de bonne guerre puisque finalement, tout gravite autour de l'argent.
Non, le soucis c'est notre hygiène de vie qui se dégrade au fil de temps. Les jeunes ne font plus de sports, sont plongés dans internet entre deux séries télévision (François Léotard en parle très bien).
C'est une histoire d'éducation.
Cordialement,
je suis entièrement d'accord avec le fait de ne pas mettre des bonbons sous le nez des enfants puisque les mamans et grands mamans ne sont pas suffisamment responsables et ne savent pas dire non à leur progénitures.....je voudrais parler d'autres choses: la "remballe" dans les grandes surfaces une pratique courante. J'ai moi même un jour acheté un morceau de viande avec une date de consommation relativement éloignée et dès le lendemain cette viande sentait très mauvais à l'ouverture, plus jus bizarre et couleur pas appétissante! qu'avez vous à dire à ce sujet?
Enfin une grande enseigne se mobilise sur ce problème de l'obésité.
Bravo et merci notre association spectacles pédagogiques enfants travaille dans les écoles maternelles et primaires sur le théme de l'équilibre alimentaire et il s'avère que parfois les enfants ne savent même pas d'où vient le lait, les fruits... et leur rôle pour l'organisme.
moins de bonbons, plus d'équilibre et beaucoup de plaisir.
Monsieur M EL nous avons le même objectif
"Santé " je suppose!!!!
au plaisir
je vous invite sur le blog de la fée équilibre
Enfin une grande enseigne se mobilise sur ce problème de l'obésité.
Bravo et merci notre association spectacles pédagogiques enfants travaille dans les écoles maternelles et primaires sur le théme de l'équilibre alimentaire et il s'avère que parfois les enfants ne savent même pas d'où vient le lait, les fruits... et leur rôle pour l'organisme.
moins de bonbons, plus d'équilibre et beaucoup de plaisir.
Monsieur M EL nous avons le même objectif
"Santé " je suppose!!!!
au plaisir
je vous invite sur le blog de la fée équilibre
Cher Michel Edouard,
Je suis heureux de constater que nos positions se rejoignent sur le fond :
Je pense comme vous que la lutte contre l’obésité passe par des mesures concrètes pragmatiques et cohérentes dans le cadre d’un engagement de tous les acteurs de la société :
Oui, l’obésité est un phénomène complexe, qui repose sur de multiples facteurs : individuels, familiaux, environnementaux, sociétaux, culturels, etc.
Oui, nous avons tous une part de responsabilité à assumer avec courage et détermination, en agissant au cœur de nos métiers respectifs, là où nos actions peuvent être efficaces.
A ces éléments, j’ajouterai encore une dimension qui m’est chère et qui, je crois, anime aussi l’engagement de votre groupe : le respect de nos concitoyens.
Privilégions les solutions pragmatiques dont on mesure l’efficacité durablement à la surenchère d’annonces arbitraires, aux effets dérisoires ou contre productifs;
Privilégions la liberté de nos concitoyens par la responsabilisation à la voie dirigiste de l’interdit.
C’est peut être ce qui sépare nos positions, comme en atteste votre décision de retirer nos produits sucrés des caisses de vos magasins. Agir, oui, mais pas au mépris de l’efficacité. Et c’est là que votre décision m’interpelle et m’étonne dans un premier temps.
Etonné, car, comme vous, je sais que moins de 15% des clients font leurs courses avec des enfants et que seulement 3% environ effectuent un achat en caisses. Quelle sera donc l’efficacité du retrait de nos produits aux caisses de vos supermarchés ? N’est-il pas illusoire d’imaginer qu’à travers cette mesure, les enfants consommeront t-ils ainsi moins ou mieux ?
Etonné, également que la grande distribution par votre intermédiaire se substitue à l’autorité parentale. Je reste convaincu pourtant qu’une très large majorité de parents savent encore dire « non » aux requêtes de leurs enfants. La solution n’est certainement pas d’aseptiser le monde dans lequel nous vivons. Cette approche a, me semble t-il, montré sa faiblesse et ses limites aux Etats-Unis.
Etonné et, plus encore, en colère, car vous êtes en train de jeter injustement le discrédit sur une catégorie de produits, de légitimer une façon nouvelle de les stigmatiser, sans même avoir pris le temps de considérer l’impact de la mesure sur l’obésité. Et tout cela alors que l’idée selon laquelle chaque aliment a une place dans une alimentation équilibrée est partagée par tous. Nos produits en font partie complètement. Il en résulte un enjeu économique considérable qu’en ma qualité de dirigeant de cette entreprise, je ne peux accepter sans me révolter. Oui à un arbitrage en faveur d’actions répondant à des considérations sanitaires lorsque leur efficacité est établie. Non, à une mesure symbolique aux conséquences désastreuses pour notre activité.
En colère aussi, car c’est ma responsabilité qui se trouve mise en cause, la responsabilité de ma société et celle de mes collaborateurs. Or, je tiens à le souligner: nous sommes une société responsable. Et je l’affirme résolument au regard des actions que mon entreprise a développé dans la lutte contre l’obésité. Comme vous, nous nous engageons durablement et nous entendons bien poursuivre cet élan. Nous agissons là où nous avons la conviction de contribuer efficacement à répondre à cet enjeu que représente le développement de l’obésité infantile. Avec toujours le même objectif : rendre notre activité cohérente et compatible avec les attentes et les évolutions de la société dans laquelle nous sommes implantés.
Ainsi, nous n’avons pas attendu la demande de madame Bachelot pour revoir notre stratégie de communication et avons arrêté toute diffusion de nos messages publicitaires dans les émissions enfantines, il y a maintenant 4 ans. Eu égard à leur nature, nous avons également choisi de ne commercialiser nos produits qu’en petites portions emballées individuellement pour encourager une consommation responsable et ce, depuis leur toute première mise sur le marché. Des décisions qui, comme la vôtre, représentent un coût que notre société prend en charge au titre de sa responsabilité.
Et j’entends bien ne pas interrompre cette démarche, dans un esprit d’ouverture et de dialogue avec tous les acteurs – consommateurs, distributeurs et pouvoirs publics - conditions propres à faire naitre les bonnes idées, celles qui seront efficaces et durables.
Michel-Edouard, je tiens à vous remercier pour la mise à disposition de votre blog, un espace de liberté et de dialogue. Je souhaite que nous poursuivions ce dialogue pour contribuer à construire ensemble, un environnement alimentaire répondant aux attentes de nos concitoyens.
Marco Capurso
Directeur général Ferrero France
piting, lui il a des burnes!
enfin; un boss taillé a l'écriture et a la combativité, enfin quelqu'un qui sort du silence et prone la representativité de son entreprise.
Mais et surtout comme a l'habitude, cet homme demontre que les entreprises sont a l'origine des ameliorations qualitatives et non les politiques qui eux dépassés tentent vainement de se racrocher au wagon.Nestlé denonçait en son temps les risques liés au abats, bien avant qu'un gouvernement n'aie l'idée d'en parler.
mais, encore la prise en main de dossiers par les politiques se traduit par une manifestation d'incompetances generalisées dont l'inclination est dans le sens de l'electeur bien plus que celui d'un résultat, ce qui l'amene a develloper plus ou moins n'importe quoi.
La deconnexion totale des politiques avec le monde de l'entreprise devient telle qu'ils arrivent a s'emouvoir des plantes vertes du hall d'accueuil.
Voila, felicitations Monsieur Marco Capurso et désolé pour le coté un peu trivial du debut du mail, mais bon.....
ah, une chose encore les chocos de l'ambassadeur, ça gonfle un peu, un tantinet class action et vaguement soft, essaie ferrero black action version trash punk, c'est la peche et le coté rebelle, hey ho let's go, ça changera de la com on chic bon genre qui a son public aussi.
Bonjour,Monsieur MEL
Je pense que Le problème ce ne sont pas les bonbons au caisse ni les magasins qui les vendent
ce sont les parents qui les achètent
et qui les donnent à profusion
je propose de faire plus de prévention à
l'école et de faire le tri dans le choix car vraiment entre les couilles de mammouths et les bonbons remplis de liquide de frein !
et puis le malheur des uns fait le bonheur des dentistes business is business donc parents soyez responsables et vigilants
je propose monsieur M. E. L une collaboration avec l'Association spectacles pédagogiques enfants 2/8ans qui propose de connaître le rôle et la provenance des aliments d'une façon éducative et ludique.
Le but est entièrement pédagogique, aborder l'équilibre alimentaire dés le plus jeune âge par le biais du spectacles enfants( nous le faisons déjà pour les écoles).
je vous invite sur notre blog
http://fee-equilibre.skyblog.com/
bienvenue à Tous!!!
je propose monsieur M. E. L une collaboration avec l'Association spectacles pédagogiques enfants 2/8ans qui propose de connaître le rôle et la provenance des aliments d'une façon éducative et ludique.
Le but est entièrement pédagogique, aborder l'équilibre alimentaire dés le plus jeune âge par le biais du spectacles enfants( nous le faisons déjà pour les écoles).
je vous invite sur notre blog
http://fee-equilibre.skyblog.com/
bienvenue à Tous!!!
Merci d'y apporter un avis ...
Après les confiseries, madame Bachelot souhaite maintenant s’attaquer à la question de la vente d’alcool dans les points de vente à emporter, donc notamment dans les grandes surfaces... Alors monsieur Leclerc, vous qui aficher une volonté d'agir de manière citoyenne, qu'allez vous faire pour permettre à nos enfants d'être épargnés par le fléau de l'alcoolisme ? La décision n'est pas facile. Contrairement à votre annonce sur les confiseries, une belle opération de communiation, ici, pas de mesures paillettes possible. Sur ce sujet, croyez - bien qu'on vous attend!
Elle a le soutien de X Darcos, ministre de l’Education.
Après les confiseries, madame Bachelot souhaite maintenant s’attaquer à la question de la vente d’alcool dans les points de vente à emporter, donc notamment dans les grandes surfaces... Alors monsieur Leclerc, vous qui aficher une volonté d'agir de manière citoyenne, qu'allez vous faire pour permettre à nos enfants d'être épargnés par le fléau de l'alcoolisme ? La décision n'est pas facile. Contrairement à votre annonce sur les confiseries, une belle opération de communiation, ici, pas de mesures paillettes possible. Sur ce sujet, croyez - bien qu'on vous attend!
Laura et Martin
Après les confiseries, madame Bachelot souhaite maintenant s’attaquer à la question de la vente d’alcool dans les points de vente à emporter, donc notamment dans les grandes surfaces... Alors monsieur Leclerc, vous qui aficher une volonté d'agir de manière citoyenne, qu'allez vous faire pour permettre à nos enfants d'être épargnés par le fléau de l'alcoolisme ? La décision n'est pas facile. Contrairement à votre annonce sur les confiseries, une belle opération de communiation, ici, pas de mesures paillettes possible. Sur ce sujet, croyez - bien qu'on vous attend!
Laura et Martin
Que Marco Capurso explique alors pourquoi l'ANIA, dont il fait partie, refuse catégoriquement de débattre des devants de caisse avec la Ministre de la Santé ?
C'est beau d'avoir des principes vertueux - et fort bien exprimés - mais si l'ANIA allait aux réunions, les industriels pourraient peut-être aménager les choses.
Là, le comportement de l'ANIA - arc bouté sur la libre entreprise - nuit à votre cause.
que les ministeres commencent a s'expliquer sur leurs situations financieres, les 30 ans de gouvernance calamiteuse et leurs trains de vies fastueux, avant de mettre en avant un projet qui touche a la liberté de consommer.
Il est vain de croire a la suffisance et aux exigences d'une démocratie moribonde qui non contente de confondre l'interet général avec l'interet particulier, s'attaque maintenant a l'emploi et au commerce pour justifier d'une exigeance minoritaire.
Notre hebergeur fait allusions aux Soviets, le ton et l'imprecation donné au message precedent en est l'illustration. Diabolisation et culpabilisation apres la lettre de Guy, la lettre d'un diabetique ?
mais comment un ministre peut avoir comme preocupation l'agencement d'un grand magasin, est ce dans sa fonction est ce son metier, est ce du droit privé, est ce du droit commercial.
ps ,les jeunes ne sont pas tous obeses et le monde, c'est ça( le web) ce que vous ne maitrisez plus, encore moins l'audiovisuel telle que vous la concevez, Pachelbel ou Bach etaient visionaires usant de mathematiques musicales encore valides, les lumieres sont toujours valides, la dictature aussi c'est une question de choix
Bonjour,
S’il suffisait de mettre simplement des avertissements sur les boites et diffuser des annonces pour que cesse la progression de l’obésité, ce serait une grande victoire sur la malbouffe.
Hélas, on peut s’interroger sur le bien-fondé d’une telle mesure.
De notre alimentation dépend notre santé et nous ne sortirons pas de cette malbouffe sans une remise à plat de notre système de distribution. Grosses industries agro-alimentaire et grandes surfaces même combat : des produits à moindre coût, certes sécurisés mais de bien piètre qualité. Une législation stupide favorisant la technique face au bon sens. Des moyens logistiques énormes pour transporter les produits sur des milliers de KM (merci pour la pollution), des emballages qui coûtent aussi chers que leur contenu (facile pour ces géants qui possèdent leurs usines d’emballage, acheté avec TVA à 19.6 et revendu à 5.5).
Que dire du développement des maladies chroniques dites maladie de civilisation dont l’industrie agro-alimentaire est en grande partie coresponsable avec les grands distributeurs. Toute cette panoplie sécuritaire inutile qui rend nos produits alimentaires stériles (junk food).
De nombreux producteurs (petits mais performant) proposent d’excellentes choses qui sont depuis longtemps soucieux de proposer une alimentation vraie et correspondant à nos réels besoins.
Une élévation de la qualité des produits permettrait de faire baisser le coût de la santé de plus de 16%, et bien se nourrir est souvent plus économique que de se faire piéger dans ces grandes surfaces avec des produits dont les compositions incompréhensibles pour la plupart d’entre-nous relèvent plus de l’escroquerie que du souci du bien nourrir.
Savez-vous quelle est la différence entre la nutrition, la diététique et l’alimentation ? NON !
- la nutrition, c’est la science (avec ses excès, ex : l’ESB, le cancer du porc etc.)
- La diététique, c’est la règle (avec toutes ses contradictions, chacun est différent)
- L’alimentation c’est le bon sens, celle qui a forgé notre intelligence et notre sociabilité. Tout finit par un bon repas, ne l’oublions pas !!!!!
vivre pour manger n'est pas ici le sujet, il suffit de voir les produits démocratisés et festifs que la distrib nous propose, pour comprendre qu'un foie grand ne fait pas grande difference avec un paté de cannard et la dietetique correspond a une société d'aliené qui ne sait plus ce qu'est la depense énergetique musculaire.
au menu
cellulite, peau de peche, hemoroides anorexique et obeses j'en passe et des meilleures, la qualité a un prix, et si le commun des mortel ne peut se payer une ommelette richemond( que des produits frais)les bobos, Onfray, en tete, cherchent a raisonner le socio alimentaire dictant des precepts de ce qui leurs semble bon pour les autres autour d'un Cheval Blanc ou d'un Lafitte, voire d'un Puligny Montrachet ce qui permet a d'autre de raisonner en grosse caisse sur un cout pour la société et d'une economie réalisée sur l'assurance maladie, la technocratie tente de se raccrocher aux meneurs dans de vaines mondanités tout en ignorant le probleme.
C'est faire fi de la crise et des bas salaires, l'industrie nourri tout le monde permettant aux autres activités de se develloper, si le budget nourriture devait revenir a celui des année cinquante il est fort probable que c'est l'ensemble du tertiaire qui en patira, on pourra toujours essayer de manger son portable, mais l'augmentation des prix de la nourriture sera la pauperisation, taper sur l'industrie n'est que le reflet de la militance bornée qui ne repete que benoitement ce que le maitre a dit, gouverner c'est prevoir, militer c'est subir, a l'image de l'arche de zoe on dit n'importe quoi et on repand n'importe quoi pour un cout de 6 mds, (a ces milliards reclamés il suffirai de supposer qu'on en verse un seul a la rebellion pour que le clown en place se calme)
Il s'agit de defendre le systeme en place pour preserver les emplois tout en y apportant des ameliorations et non de revenir a une société qui n'existe plus, parce que la modernité et la réalité font que les choses ne sont pas si simplistes que la dietetique semblerait le faire croire.
Est ce du role de l'etat de s'occuper de la nutrition, de la logistique et de la distribution des produits ?
puisque tout marché est à prendre que pensez vous de celui des dérivés du cannabis ou de la coca ? peut être que là aussi vous serez moins cher!
"plus de friandises sucrées pour enfants aux caisses" c'est une bonne chose mais pourquoi ne pas mettre des produits qui sont mieux pour la santé ou encore des produits écologiques ? ;)
Salut Poète Olivier!
T'as raison! Il faut mettre du dentifrice, des brosses à dent, de l'alcool à 90, des capotes ...Tout le petit matériel hygiènique que le client oublie.
Des livres sur la politesse, le savoir vivre, le respect...
@ spam :
Ca y est, le p'tit toutou de son maître mel est revenu pour descendre en flèche les méchants contestataires ?
Tu sais, ça va finir par se voir pour qui tu travailles, fais un peu attention !!!
On me dis dans mon Leclerc près de chez moi (Blagnac) que les 3 petites barres chocolatés que j'avais l'haitude de prendre (mauvaise mère que je suis) ne sont plus aux caisses à cause du sucre, de l'obésité des gosses etc... Mais qu'on peut les trouver en rayon. Va pour le rayon.
Mais là, outre le fait que la tentation pour les gosses est beaucoup plus grande vu le choix, mes barres chocolatés ne sont dispos que par 10 au lieu des trois que je prends habituellement. Pour l'effet, on veut limiter la consomations des gosses de sucre, c'est gagné.
Mais bon, par 10, c'est toujours ça de gagné en plus par Laclerc qui augmente son chiffre d'affaire.
Et si Leclerc se vante tellement d'avoir supprimer les produits sucré pour les enfants aux caisses, pourquoi trouve t'on tellement des caisses remplies à 100 % de fraises Tagada, réglisses et autres sucreries 100 % sucre. Mais bon, BOMBESTS comme ça s'appelle fait peut être gagner trop d'argent à Monsieur Leclerc pour qu'il se permette de les retirer.
Je pense que Edouard Leclerc se fait de la pub et rien d'autre qund il fait le beau à la télé. quand à moi, possible que je change de coin pour faire mes courses.
Monsieur Leclerc, pourquoi illustrez-vous votre article sur l'obésité infantile de même que votre encart publicitaire sur le retrait des confiseries de vos caisses avec des articles (principalement sucettes) vendus principalement sur les fêtes foraines et qu'on ne voit jamais aux caisses ! Pourquoi pas du Haribo qui en matière de consommation favorisant l'obésité est certainement aussi Numéro 1 ! Nous trouvons ce choix peu honnête car il n'est pas représentatif des produits de confiserie que vous mettez réellement en avant dans vos magasins. Nous, nous aurons l'honnêteté de préciser que nous sommes fabricants de confiserie, de sucettes foraines entre autres, et que ni nos enfants, ni ceux de nos employés sont obèses. Nous trouvons le message que vous convoyez par ce chois de photos discriminatoire pour in type de confiseurs dont vous ne faîtes évidemment pas partie. Quoiqu'il en soit le vrai message devrait plutôt porter sur l'éducation parentale et la modération.
Bonjour,
Il serait bien plus important d'étiqueter le pourcentage en Gras Trans de tous les produits !! Cela se fait déjà aux US pays ô combien concerné par l'obésité. Ces huiles hydrogénées sont bien précisées sur l'emballage mais aucune mention de son %. Ce peut être un avantage marketing de promouvoir la mention 0% de Gras Trans!! A ce sujet , la Californie vient d'interdire le Gras Trans dans tous les restaurants dès 2009.Pourquoi pas la marque repère avec 0% de Gras Trans, Chiche!!
Bonjour à tous et à MEL,
Aspartame, pic et pic et colégram, bourre et bourre et ratatam... :-)
Dans certains magasins des fleurs bonbons sont vendues à hauteur d'enfant.
Comme quoi MEL (enfin ses enseignes) doivent bien aimer Brel, des fleurs non périssables, quel concept !!!
Moi qui aime observer les gens je peux vous dire que 90% des enfants faisant leurs courses avec leurs parents se retrouvent la plupart du temps avec de belles fleurs posées sur leur coeur, et ce jusqu'à la caisse.
Pour la plupart des grands distributeurs nous ne sommes que des produits marketing, que des études de marché, j'adore vous écouter parler cher MEL mais sur ce débat j'ai vraiment beaucoup de mal à vous croire sincère, ne dit-on pas sincèrement ?
Bonjour,
Six mois après, qu'en est-il de cette idée ? Parce que pour l'instant, les caisses sont encore bordées de ces su-sucres et j'y vois toujours autant de parents se laisser avoir par ce coup de pied dans le porte-monnaie, pour ne plus avoir à assumer les cris et pleurs de leurs gaminous, déjà suffisament manipulés (que dis-je… quasiment « éduqués ») par la publicité.
Dire c'est bien.
Faire c'est mieux.
Monsieur Leclerc,
Je suis une lectrice régulière de votre blog et je vous remercie de nous donner la possibilité de discuter avec vous des sujets qui nous sont chers. Vous êtes l'un des seuls je pense. Je me permets pour la première fois d'intervenir ici car je suis surprise de vos positions. Il y a quelques mois, vous aviez annoncé dans la presse que les magasins Leclerc ne mettront plus de bonbons près des caisses de paiement. Je vous écris car, à plusieurs reprises pendant mes vacances dans le sud, j'ai trouvé des confiseries de la marque « Bombest » aux caisses des supermarchés. Et quand ce n'est pas des bonbons, on peut y trouver des chips ou des sodas me rapportent d'autres amies. Je n'y comprends plus rien ! Peut être avais-je mal compris votre position ou que les journalistes l'ont mal interprété. Vous parliez peut être que des magasins de Paris ?
Qui devons-nous croire aujourd'hui ? Je suis moi-même maman et je vous avoue que je trouvais déjà votre idée d'enlever les bonbons des caisses saugrenue. C'est personnel mais je pense que c'est aux parents d'éduquer leurs enfants. Bref, ce n'est pas le débat, mais si en plus, votre promesse n'est pas tenue. Je ne vous suit plus du tout.
Monsieur Leclerc, merci de votre écoute et de votre réponse.
Annie, 48 ans, Paris.
Il y a quelques mois, pour vous faire une publicité gratuite dans les médias vous annonciez le retrait des têtes de gondoles des bonbons. On constate qu'aujourd'hui dans vos hypers les bonbons sont toujours situés aux caisses; c'est une question de rentabilité ! Mais on a le sentiment qu'avec Leclerc, plus c'est gros plus ça passe (du moins pour certaines personnes) ! C'est comme votre pseudo combat pour l'écologie alors que vous continuez à distrbuer des millions de prospectus publicitaires polluants chaque semaine dans les boites aux lettres pour attirer le chaland et vendre toujours plus.
C'est aussi votre pseudo combat pour le pouvoir d'achat alors que les prix dans les GMS en général (dont votre enseigne) ne cessent d'augmenter depuis le début de l'année (dénoncé par les associations de consommateurs). Pour détourner l'attention, vous investissez alors des millions d'euros à la télé pour dire que vendriez les médicaments moins chers si on vous y autorisait. Commencez déjà par baisser vos prix sur l'alimentaire, principale dépense des ménages après le logement et le transport. IL suffirait de réduire vos marges astronomique et compte tenu de leur importance, il y a une sacré marge de manoeuvre pour obtenir de vrais prix bas. Merci.
Monsieur
J'essaie de vous contacter et obtenir un rendez-vous avec vous.je souhaitai offrir àà l'ensemble des magasins la fourniture gratuite d'emballage alimentaire du rayon boulangerie et pour votre groupe réaliser un économat sur ce poste.J'ai de tres grandes difficultees à convaincre les adhérents de chaque SCAP.Je souhaite que vous me répondiez sur ce sujet on parle de pouvoir d'achat depuis un bon moment si je vous donnez quelques clefs pour aboutir.Je suis un jeune entrepreneur qui à des idees mais pas de partenaires.Mon TEL 03/61/43/60/88
Cordialement Colpart Bruno
je suis d accord avec le gaspillage des emballages - je viens de mette un article sur mon blog et dans ma communauté " vive le gaspillage " je serais fire et heureuse que vous vous abonniez à ma communauté - vous pourriez m'adresser des articles de votre cru sur le gaspi- je suis atteinte de polyarthrite rhumatoide inflammatoire - jai 52 ans -
en espérant de vos nouvelles-
cordialement Lady Marianne
En effet, je pense que l’obésité est plus que jamais devenu un problème de société. Certes les publicitaires se sont pliés au jeu du conseil en alertant le public contre les méfaits du « trop gras, trop sucré, trop salé », néanmoins ceux-ci n’ont pas réduit la cadence de leurs spots et continuent de tenter les téléspectateurs les plus jeunes. Comme le souligne Michel Edouard Leclerc, les pouvoirs publics se déchargent de leurs responsabilités rejetant la faute sur les industriels et les distributeurs. Je pense que chacun est responsable de ce qu’il vend et de ce qu’il consomme. L’apprentissage lié à l’alimentation commence dès le plus jeune âge, c’est donc d’abord aux parents d’instaurer des règles alimentaires saines et équilibrées. Par la suite, les pouvoirs publics ne peuvent tourner le dos au problème qui à long terme risque d’avoir de lourdes répercussions sur la santé publique. Enfin, je pense que les industriels devraient pouvoir proposer des produits de qualité, élaborés avec des nutritionnistes et autres professionnels du métier afin de revenir à une situation plus « saine » où le consommateur puisse être conscient de ce qu’il ingurgite.
Toutefois, le problème reste récurrent : les produits de meilleure qualité sont aussi les plus chers, c’est pourquoi ont assiste à un phénomène de « malbouffe » rencontré chez les familles les plus modestes.
Un an et demi plus tard, que constate-t-on ? Que rien à changé !

Où en est ce projet ?!
M. Leclerc,
avez-vous aussi prix contact avec vos fournisseurs pour supprimer les graisses de palme,coprah, palmiste ainsi que les sirop de glucose et/ou fructose qui n'ont rien à faire dans notre alimentation quotidienne
Monsieur Leclerc,
vous aimez communiquer sur les prix de vos hypers face à ses concurrents.
Mais qu'en est il de la qualité ?
Je viens de trouver dans un pain de campagne de l'un de vos concurrents une vis métallique ! Je m'apprêtais à donner cette tranche de pain à notre enfant de 14 mois, lorqu'un des parents s'est aperçu qu'une grosse vis était incrustées dans la tranche. Je reste à votre disposition si vous souhaitez de plus amples renseignements sur cette enseigne peu srupuleuse.
Cordialement.

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