Débat droits humains
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Débat : comment définir les droits humains ?

Les droits humains : une évocation rituelle ? Une caution d'intervention guerrière ? Ou une véritable boussole diplomatique ? Et peut-on éviter une forme de realpolitik ?

Pour en débattre : Pascal Boniface (IRIS), Rony Brauman (Médecins sans frontières), Jean de Gliniasty (ambassadeur) et Nathalie Godard (Amnesty International).

C'est Nicolas Mayer-Rossignol, maire de Rouen (Normandie), qui a ouvert le premier colloque de la saison 1 des droits humains organisé par NEOMA (6.500 étudiants), que j'ai le plaisir de présider, et l'IRIS.

Evidemment, forums et débats vont se succéder avec la participation de plusieurs ONG : Médecins du Monde, l'ACAT, la Ligue des Droits de l'Homme, la FIDH, la Cimade.

Une initiative engageante. NEOMA et l'IRIS, en plus d'abriter des chercheurs, forment de futurs décideurs. Cette jeunesse aujourd'hui priorise des emplois qui feront "sens".

Au-delà des postures, ils seront dans leurs métiers interpeller sur les droits humains. Comme dirait Rony Brauman : "Avoir une boussole, c'est nécessaire, mais il faut leur apprendre à composer avec des reliefs".

Droits humains

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1 Commentaires

Bonjour Mel,
Le droit humain doit certainement se définir en fonction de la capacité de la nature à fournir les ressources. La nature n'interdit rien, elle s'adapte et se transforme. Il est urgent de définir ce que nous pouvons continuer à consommer en grands volumes et ce que nous devons consommer en petits volumes. Je suis contre l'interdiction, je suis pour la rationalisation Pourquoi interdire la vente de fruits exotiques venus par avions si ils sont livrés en complément d'un vol de passagers ou d'autres produits de nécessité? La mobilité, la production et la distribution doivent s'adapter à la connaissance de l'eau, de la terre et de l'ait pour en préserver la qualité donc la continuité de l'Humanité. On ne peut faire la même chose à Paris qu'au Havre. Pour reprendre le secteur de l'aviation il est urgent de revoir le nombre de mouvements à la baisse en région parisienne pour lutter contre la pollution atmosphérique l'hivers.

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