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Surpêche, menace sur les ressources en poisson : Greenpeace interpelle la distribution

 Greenpeace démarre une campagne de sensibilisation du grand public sur la surpêche de certaines espèces et la préservation des ressources halieutiques. Sur l’exemple d’un rapport réalisé par Greenpeace Angleterre > Lire le rapport Greenpeace (pdf) Greenpeace France rédige une étude sur la consommation des produits de la mer dans l’hexagone, ainsi que sur la politique d’approvisionnement des acteurs du marché. 70% des ventes de poisson se font au travers de la grande distribution. Par des achats directs ou par l’intermédiation de mareyeurs ou de grossistes ! L’ONG souhaite mettre en place un système de notation pour chaque enseigne. La démarche de Greenpeace se veut constructive. Tant mieux. Le sujet mérite qu’on s’y investisse. Et les solutions ne sont pas simples. On se rappellera cette polémique sur la perche du Nil. J’avais diligenté un audit social et environnemental pour que mes collaborateurs puissent se faire une opinion. C’est en partie chose faite : les dégâts écologiques sont confirmés, la prolifération de l’espèce prédatrice nuit à la diversité du peuplement des cours d’eau mais le boycott n’arrangera rien. En tout cas socialement ! L’exploitation de ce poisson a été créatrice de nombreux emplois. Loin d’être toujours valorisants, c’est sûr. Mais la reconversion des sites de conditionnement devenus très nombreux, ne peut pas se faire du jour au lendemain. Mes équipes recherchent des formules de substitution, vers d’autres espèces, et même des modes de production bio ou équitables. Il faut du temps… L’étude française de Greenpeace porte sur une dizaine d’espèces sur lesquelles l’ONG propose des actions correctives, soit pour éviter le gaspillage des ressources, soit pour pallier aux effets négatifs des modes de pêche, destructeurs de l’environnement. Il s’agit du cabillaud, du thon rouge (de Méditerranée dans 80% des cas), de l’empereur, du grenadier, du lieu noir, du bar, du flétan, de la lotte, du carrelet, et des crevettes (sauvages ou d’élevage. Il s’agit principalement ici de crevettes importées d’Asie ou d’Amérique du Sud). Sur la base de cette liste, nous allons donc rassembler les données concernant les différents fournisseurs. Répertorier les modes de pêche, tels que par exemple, ceux qui s’effectuent avec des chaluts pélagiques, pas forcément interdits par la réglementation, mais sujets à forte polémique, notamment en Bretagne. Partant de ce travail de documentation, mes équipes discuteront avec Greenpeace ou tout autre ONG intéressée par le sujet… pour mener un certain nombre d’actions parmi lesquelles 1. Réécriture (à la hausse) des exigences concernant le respect des critères environnementaux et sociaux sur les sites d’élevage. 2. Suppression de la pêche pélagique (et étude avec les professionnels de technique de substitution) 3. Référencement et promotion d’espèces alternatives (comme le tilapia). La tentation des ONG, dans le processus de notation, c’est évidemment de mettre la pression sur les acteurs économiques. Moi, je crois qu’il faut faire les choses rationnellement, en mesurant toutes les conséquences des actions correctives. Il faut en effet éviter de tomber dans des actions trop radicales, dont les effets pervers peuvent être pire que les pollutions présentes. J’ai relu cette semaine des articles publiés ces 4 ou 5 dernières années sur la surexploitation de quelques unes de ces espèces. Nombre d’ONG faisaient la promotion des techniques d’élevage, par opposition à la surpêche, en haute mer. Mais, 4 ans plus tard, les mêmes ONG dénoncent les concentrations d’élevage, dont tout le monde convient désormais qu’ils ont aussi un effet très polluant, et qu’ils constituent des lieux où prolifèrent nombre de virus et bactéries (cf. crevettes asiatiques). Sans compter le problème de l’alimentation des poissons d’élevage… Je n’ai pas d’autres compétences pour aller plus loin dans l’analyse du sujet. S’il vous passionne, n’hésitez pas à me fournir des informations. De toute façon, il nous faut réagir, et profiter de cette alerte de Greeenpeace, pour balayer tous les problèmes de ces filières.

37 Commentaires

Monsieur Michel Edouard Leclerc,
J'ai cru apercevoir dans quartier
divers, des propos orduriers,
xénophobes et injurieux.
Vous n'avez pas le droit de laisser
de tels horreurs de la part de
sous-humains, car là vous riquez
une petite intervention, je peux
vous le dire.
Quant à la très mauvaise impression
que cela donne sur votre blog ???
C'est vrai je suis d'accord : supprimons les comm. de Richard alias G Maes :)
Je ne sais pas qui est ce drôle
de bonhomme Draky, mais j'insiste
je ne plaisante pas sur les
propos orduriers, xénophobes et
injurieux, vous n'avez pas le droit
de laisser de tels horreurs de
sous-humains sans risquer des
ennuis. Même si c'est ce Draky
qui me semble un peu trop faire
de l'humour.
Je ne plaisante pas, je vous l'exprime
à nouveau...
Monsieur M.E.Leclerc,
J'ai vu des gens qui placardent des
noms sans le consentement de
l'intéressé, bien entendu, ils
vont les chercher sur un site?
Ils n'ont pas le droit d'agir de
cette manière, surtout qu'eux-mêmes
sont des pseudos courageux, cela se
remarque...
Dans une gendarmerie un jour, un collègue
avait affiché un écriteau ou
un trou-du-cul pouvait arrêter tout
le fonctionnement d'un organisme.
Méditons peu et bien, c'est interdit
cela s'appelle de la difamation, si
on cite le nom de quelqu'un sans son
consentement.
A bon entendeur Salut.
Tout faux mon bonhomme :)
Si on veut rester anonyme, on se cache, on ne révèle pas quelques indices qui font qu'on le devine :)
Mon identité perso n'est pas secrète mais vous à force de mettre votre pseudo-site, on vous reconnaît.
Je suis Alain Richard,
je n'ai rien à voir avec ces
poltrons, je suis gendarme, et
je (redis) que personne n'a le
droit de citer les noms sans
les consentements respectifs.
Un point c'est tout mon
bonhomme, vous vous exposez
à des sanctions, car on peut
retrouver n'importe qui.
C'est faux
Point
Menteur :)
Merci, Monsieur Leclerc,
je fais partie des personnes très concernées par ce sujet. J'ai lu dans Ouest France que le sabre que l'on vent actuellement est souvent un poisson qui a vingt à quarante ans d'âge et cela me désole.
Je pense qu'il faudra passer par l'élevage pour résoudre une partie des besoins de la planète. Les difficultés rencontrées sont dûes à la relative jeunesse de cette industrie. Il n'y a pas si longtemps, on n'élevait que trois ou quatre espèces de poissons. Il faut juste apprendre à contrôler ces techniques, et surtout le faire proprement (sans bourrer les poissons de produits chimiques néfastes)
Bon courage.
Patrick
Bonjour Michel,
Le problème de la surexploitation des ressources maritimes est vaste et complexe à la fois, et effectivement les distributeurs doivent s'ateller, avec l'aide des ONG et autorités compétentes, à rationnaliser leur processus approvisionnement.
Mais il faudrait je pense s'intérésser de près au procédés de distribution, en grande surface bien sur, et aussi dans le secteur de la restauration collective. Il est certes approprié de proposerun vaste achalandage en magasin ou sur présentoir, mais c'est aussi ce qui pousse à la consommation, et donc à la surexploitation d'espèce pouvant aisément être remplacées dans l'assiette du client final.
Et si la suppression de certains produits des étals mettrait bien évidement dans le rouge certaines filières, je pense qu'aujourd'hui il faut voir large, et conjuger la sensibilisation des consommateurs et distributeurs à ces problèmes avec des mesures de reconversion pour les filières concernées... C'est peut être utopique au vu des faibles marges de manoeuvres des grands acteurs économique de ce pays, mais c'est nécéssaire au vu de la rapide dégradation de notre environnement...
Je parle évidement des problèmes que nous rencontrons en France, n'étant pas assez informé de ce qui se passe à l'étranger, même si là encore la logique devrait être la même.
Monsieur Leclerc,
Une priorité : informer & sensibiliser en exploitant les outils les plus efficaces et attractifs. Outils permettant la meilleure diffusion dans la population. L'enjeu : élargir le comportement éthique des consomm'acteurs aux poissons autant qu'au café, thé,... (cfr le succès de ces produits labellisés "Développement Durable"). En complétant par le volet (indissociable) de la pollution. Elle affecte toute la chaîne alimentaire, nous inclus bien sûr! D'où la nécessité d'une diffusion optimale de l'info et la mise en place d'une plate-forme de discussion éco-citoyenne, participative, ouvrant le débat à des solutions alternatives. Quels outils pour donner à voir, savoir & comprendre - aussi avec humour -? Web 2.0 (videoblog, podacsting,...), web 3D (scénarii animés 3D),... Autant d'éléments téléchargeables sur i-pod, PSP et autres terminaux mobiles.
Monsieur Leclerc, je serai heureux de collaborer avec vous en ce sens. Je travaille déjà sur des projets similaires.
Merci. Cordialement, Arnaud Queyrel
Oups... J'avais oublié nom et mail dans mon message précédent !
;)
Arnaud Queyrel
bonjour mel
je vous ai laisse plusieurs commentaireset pourtant je n ai eu aucune reponse.
comme je vous l ai dit cele fait 4ans que je suis salariee chez leclerc kergaradec gouesnou et depuis mars 2005 je subis au travail une souffrance manageriale enorme.suite aux demarches effectuees pour que cele cesse j ai ete transferer de rayon a ma demande mais ma chef departement produits frais a attendu un peu et c est reparti encore pire ainsi qu avec la direction qui lui admettent toute leur confiance et fepuis le 30novembre2005 je suis en arret et ca ne va pas mieux ccar je ne sais plus quoi faire je pensais que vous mm auriez laisse un mess
Raté, il vous a déjà répondu, j'ai même lu la réponse...
C'est ça aussi de poster à plusieurs endroits ;)
Ci-dessous, à verser au dossier. Pour info.
Petits poissons... ne deviendront pas gros
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/31833.htm
Un etudiant en these et ses collegues de UC Riverside ont montre que la pratique consistant a pecher les poissons les plus gros induit des changements genetiques dans la population generale. En retirant de la population les poissons les plus gros sur plusieurs generations, les poissons deviennent progressivement plus petits et ont des oeufs moins nombreux, plus petits et moins aptes a survivre. C'est donc la premiere fois que l'impact evolutif de la pression de la peche est mis en evidence. Ceci explique pourquoi les populations de poissons touchees par la surpeche ont du mal a se reconstituer meme apres des efforts de limitation de la peche, et renforce les questionnements sur la gestion actuelle des populations de poissons.
Pour en savoir plus, contacts :
http://www.sciencedaily.com/releases/2005/02/050223140858.htm
Sources : http://www.sciencedaily.com/releases/2006/01/060119231221.htm
Redacteur : Claire Notin, adjoint.sciences@consulfrance-chicago.org
Cette information est un extrait du BE Etats-Unis numero 19 du 26/01/2006 redige par l'Ambassade de France aux Etats-Unis. Les Bulletins Electroniques(BE) sont un service ADIT et sont accessibles gratuitement sur http://www.bulletins-electroniques.com
Re-tainah (le 27 février 2006)
Je vous ai déjà répondu sous la note "Procter, Danone...". Voici néanmoins à nouveau ma réponse :
J’ai été étonné par votre commentaire. Bien qu’éloigné de la Bretagne, j’ai gardé avec les salariés du centre E. Leclerc de Gouesnou beaucoup de contacts. Comme dans toute entreprise, il peut y avoir des problèmes. Mais si il y a une chose dont je suis sûr, c’est de la qualité de la gestion sociale de ce magasin.
Mais comme vous avez l’air vraiment désemparée, j’ai posé quelques questions. Difficile, compte tenu de l’anonymat de savoir si vous correspondez bien à la personne dont on m’a parlé. Mais si c’est le cas, on m’a expliqué que vous étiez pour le moment en repos.
Vous dites être en dépression. C’est ce que confirment certains de vos collègues. Vous auriez émis un certain nombre de critiques sur vos chefs de département. C’est la raison pour laquelle, par deux fois, vous avez changé de rayon. Mais à chaque fois, vous avez réitéré vos critiques, malgré les changements de personne.
En fait, il semblerait que personne ne trouve grâce à vos yeux. Et si vous êtes bien cette même personne, vous auriez écrit une dizaine de lettres à la direction, qui vous a répondu. Je crois savoir aussi que vous avez demandé à bénéficier d’une procédure d’arrêt, pour « accident du travail », ce qui vous a été refusé par le médecin de la sécurité sociale.
Bref, un gros coup de blues, une propension aussi à mettre sur le compte de l’entreprise un certain nombre de vos problèmes privés et familiaux.
Vous voyez, je ne suis pas resté insensible ni inactif. Mais de l’avis de vos collègues, il serait préférable que vous preniez le temps de rechercher une aide psychologique. Cela arrive à tout le monde. Parlez peut-être aussi avec l’inspecteur du travail. Une chose est sûre, ne vous isolez pas, ne vous crispez pas dans aucune forme de frustration.
Bon-Jour Michel,
@vez-vous bien reçu mon ptit dossier fin janvier ?
Kordi@lement,
Willy Boyé
Je me disais également que la disparation de certaines espèces de poissons étaient aussi liées à la pollution des rivières. Nombres de foyers, d'agriculteurs et d'entreprises ne sont pas correctement reliés au tout à l'égout et se soucient peu de l'écologie. Résultat un développement incontrolé des plantes aquatiques en rivières ainsi qu'en mer, particulièrement flagrant en Bretagne par la présence d'algue verte sur les cotes. Il en résulte une eutrophisation du milieu peu propice au développement des poissons...
Lorsque l'on parle de surpeche j'ai tendance à me dire qu'il y a une sous-consommation, ou en tous cas qu'il n'y a pas assez d'amateurs de poissons pour toute l'offre présente en magasin sous toutes ses formes (poissonerie,sardin' en boite, pizza au thon et autre plats préparés) non?
En tous cas limiter la quantité pechée de chaque espèce pour respecter un équilibre écologique et économique me parait être une bonne idée.
Ce Draky il faut toujours me semble-t-il qu'il s'occupe des affaires des autres.
Qu'est-ce que ça peut lui faire si oui ou non on a répondu à cette femme?
Il joue la MOUCHE DU COCHE. Quel réel petit con ce mec...
Réponse à Willy Boyé (27/02/2006)
Oui, j’ai bien reçu votre courrier. Je vais vous répondre.
Réponse à Arnaud (27/02/2006)
Merci, Arnaud, pour ces infos.
Réponse à 11 :13 (27/02/2006)
Sans vouloir donner l’impression de faire la fine bouche, j’insiste sur un point : compte tenu de mon mode de travail et de vie, je ne peux travailler que sur des dossiers précis et concrets. Idem pour les transmettre à mes collaborateurs. Donc n’hésitez pas.
Réponse à Nexes (26/02/2006)
Oui, les distributeurs peuvent influer sur l’offre. C’est la raison pour laquelle notre collaboration avec les ONG peut être efficace. La difficulté pour nous, c’est de disposer d’informations rationnelles pour construire nos gammes. Aujourd’hui, vu la délocalisation des zones de pêche, nous sommes malgré tout très tributaires des intermédiaires et des marchés de gros. Et s’il faut limiter le prélèvement de telle ou telle ressource, c’est tout de même auprès des flottes de pêche qu’il faut agir ou, quelquefois encore, auprès des pays propriétaires de ces flottes.
Réponse à Désaunay (25/02/2006)
D’accord avec vous. L’élevage, c’est l’avenir. Mais la concentration des élevages, près des zones de consommation très souvent urbanisées, crée aussi un impact écologique négatif. Voilà qui justifie l’étude, au niveau international, d’une bonne gestion des ressources halieutiques et (j’insiste sur le « et ») d’élevage.
Vous dites : "tout au long des articles énoncés ici, j'essaie d'apporter aux débats ouverts ma vision (forcément personnelle et partiale) enrichie de mon expérience au sein de ce groupe et des personnes qui le composent" Je ne peux qu'approuver et trouver ça, finalement courageux et assez culotté... Allons donc plus loin...
Que faites-vous pour sensibiliser vos clients et amis aux "Vivants menacés ou invisibles" que sont les planctons, les lichens, les pollens... Ces invisibles là sont au début de la Vie (cf René DUBOS le Sermon des lichens...) mais qui en a conscience ? Vous pourriez intervenir, avec ou sans votre groupe. J'ai quelques idées et mes amis "compagnons et mécènes du littoral" aussi...
Une info à verser au dossier.
Je conseille vivement à tous la lecture de cet article, fort instructif. Il est très didactique sur les disparitions massives de poissons par la faute de l'homme :
"Le combat inégal de l'homme et du poisson sauvage" - interview d'Arnaud Filleul, docteur en systématique et spécialiste de paléo-ichtyologie. Journal "Le Monde" (dimanche 26- lundi 27/02), page 19.
A lire : "Poissons de toujours et d'ailleurs - Histoires de pêche et biologie des espèces". Arnaud Filleul et Henri Limouzin (Editions Larivière. 208 p.; 50 Euros)
Salut,
Vous souhaitez des documents concernant le problème du développement durable maritime en fait.
Le ministère de la pêche travaille avec l'Institut Français de recherche pour l'exploitation de la mer (3w.ifremer.fr). Je sais qu'il existe aussi le Comité National des pêches maritimes et des élevages marins (CNPMEM), mais j'en ignore l'adresse internet.
Tchao M.E.L.
Salut,
C'est encore moi!
Autre site :
http://www.ifremer.fr/com/communiques/28-10-03-charte-dpma-cnpmem-ifremer.htm
Ca parle du développement durable.
Tchao M.E.L.
Re-Florence Re-Arnaud (4/03/06)
Merci pour toutes ces infos.
Re-Brouchet eco business angel (28/02/06)
Je ne connais pas le problème des lichens ni des planctons. Dites m’en plus, ici sur ce blog, ou en m’écrivant
Michel-Edouard Leclerc
ACDLec
52 rue Camille Desmoulins
92451 Issy les Moulineaux Cedex
M Leclerc,
Sur le sujet très actuel et problématique du poisson, de ses filières (aquaculture/pêche), de ses canaux de distribution, et de son impact environnemental, je tiens à vous faire part que se tiendront à LYON les 28, 29 septembre 2006 : les Rencontres interprofessionnelles "Aujourd'hui l'Aquaculture et de la Pêche professionnelle" au Palais des Congrès de Lyon.
En tant qu'organisateur, nous serions très heureux de vous inviter et pouvoir organiser un forum sur ce sujet avec les différents détracteurs et la presse. Les gens de la Recherche, les producteurs aquacoles, les fabricants d'aliments seront présents.
N'hésitez pas à consulter notre site http://www.adapra.org/lyon2006 ou à me contacter directement pour évoquer ensemble cette proposition.
Dans cette attente, cordialement
Timothée GADENNE
Cher Monsieur,
Je tiens à vous féliciter pour votre idée des "Boîtes à piles" actuellement distribuées dans vos magasins.
Tout d’abord, comme partisan d’une nature plus propre, je salue cette initiative, dans la lignée des sacs de caisse réutilisables, qui sont d’autres signes de votre fibre écologique.
Mais surtout, en tant qu’amateur de contrepèteries, je ne puis douter que le féru de belles lettres que vous êtes n’éprouve un plaisir de gourmet à mettre sous les yeux innocents des enfants et des jeunes filles votre boîte à piles ; sans doute guettez-vous dans les journaux et magazines la phrase naïve qui fera courir dans tout votre être le frisson du connaisseur : « Contre la pollution, Michel-Édouard Leclerc dresse sa boîte à piles » ou « Découvrez la boîte à piles de Michel-Édouard Leclerc », « Devant la presse internationale, Michel-Édouard Leclerc a présenté sa boîte à piles », etc., etc.
Je suis sûr que vous êtes le premier à l’utiliser, et à y glisser quand il le faut votre pile jaunie, avant qu’elle n’aille rejoindre les autres piles dans des bennes qui n’attendent que cela.
Encore bravo !
Jean-Louis Bailly (D'accord, ce mail n'a rien à voir avec la question du poisson, mais je n'ai pas trouvé de rubrique vraiment appropriée...)
bonjour.
Je viens de visiter votre site, étayé de pensées hautement bretonnantes, ce qui est bien , mais vous devriez en tant rédacteur de haut vol (!) mieux vous renseigner quant à la présence de parcs a huitres dans l'aber ildut...je vous cite ( Aujourd'hui encore, il m'arrive de rester pendant des heures à regarder la marée recouvrir les parcs ostréicoles de l'Abervrac'h et de Lanildut.)
dont acte...ne sachant où poster cette correction je la mets ici
Un breton bretonnant de l'aber ildut / plouarzel / lampaul plouarzel....marin de surcroit fréquentant ce fameux aber ildut occupé par les bateaux brestois et la vase....
a bientot
Réponse à Jean-Louis Bailly (17/03/06)
Comme vous dites, votre mail n’a pas grand-chose à voir avec la question du poisson. J’ai cru à un Poisson d'Avril !
Réponse à GADENNE (15/03/06)
Je ne pourrai pas être parmi vous à Lyon à cette date (la Saint Michel !!!). J’ai été sur votre site. Très intéressant. Je verrai si l’un de mes collaborateurs peut assister à ce débat.
Réponse à broudin (20/03/06)
Autant pour moi, il s’agissait de l’Aber Benoît.
cher mel
j ai bien recu votre reponse mais je ne suis pas en anonyma je m apelle nora et tout d abord je tenais a vous remercier d avoir repondu mais je ne pense pas que vous soyez reelement bien informe.il est vrai que j ai ecris plusieurs courriers et que la direction m a repondu sauf pour le dernier et quant a l inspectrice du travail elle est deja intervenue deux fois.en effet j ai ete 1mois et demi en clinique suite a la la tds que j ai faite dans le magasin suite a un entretien anarchique(enfermee dans un frigo avec mes deux chefs qui sont des hommes).
par contre j ai change une seule fois de rayon et toujours avec la meme chef de departement avec l avis de la medecine du travail ainsi que de deux autres medecins et non au bon vouloir de la direction.
vous ne pouvez pas vous imaginer comme c est dur d etre en depression.vous dites etre sur de la qualite de la gestion sociale de l entreprise kergaradec gouesnou mais dans quel sens?bonne ou maoyenne?car actuellement je ne suis pas la seule a avoir eu recours a ce geste desepere et pour quelles raisons j aurai des problemes familiaux ou prives?si vous le dites je peux vous confirmer le contraire.je ne pretend pas je suis en depression et meme si je remonte la pente je suis toujours sous un traitement tres lourd et j espere que lorsque je reprendrai tous ces agissements cesseront.pour votre informations je n ai pu critiquer mes chefs de departement car je n en ai qu une et je n ai change qu une fois de rayon mais jamais de chef de departement.oui effectivement j ai demande a ce que ce soit reconnu en accident du travail avec conseil de juristes et ma demande est en cours car j ai fais appel et j ai joins certificats medicaux temoignages...etcjamais je ne voulais en arriver la mais cela se voit que vous n etes plus en bretagne pour faire les constatations vous meme.desormais je suisq obligee de rester sous traitement pour ne pas rechuter mais le pire c est qu il y a d autres personnes concernees par le meme probleme et qui ont peur de le devoiler en fonction des represailles car ils se vengent avec les horaires l acharnement apres on refait un craquage maintenant vous savez mon prenom nora et vous devriez leur demander reelement tout le dossier car je ne les laisserai pas gacher ma vie a retomber en depression sachant que j avais donne le meilleur de moi suite a quoi j ai eu un cdi mais tout ce que je demande c est que l on me laisse travailler tranquillement et quand je repense a ce 30novembre 2005ca me fait mal et la j ai decide avec l avis de medecins d essayer de reprendre meme si je me sens encore fragile.pendant tout ce temps je me sentais nulle ils m ont fait perdre toute confiance en moi et heureusement que je n ai pas de problemes prives ou familiaux et qu ils sont tous la pour me soutenir.je vous remercie de m avoir repondu a la 1ere lettre j espere que vous en ferez autant sur celle ci.
Suite lichens et planctons : Merci MEL de votre réponse du 28 février. Le développement au niveau local d'Observatoires des Vivants Menaciés ou Invisibles (projet L'OVMI...) sur le modèle de l'Observatoire du Plancton de Port Louis (créateur Pierre MOLLO du CEMPAMA de BEG MEIL qui est un enseignant chercheur formidable, multidisciplinaire et très pédagogue) me semble à soutenir. Paris Nature semble intéressé pour sa "Péniche de l'Eau" (Plancton de la Seine) et sa Maison de l'Air (Lichens des Villes, indicateur de radioactivité...).
Si vous êtes intéressé je peux vous envoyer un dossier lorsque celui-ci sera suffisamment étayé (j'y travaille avec mes amis su Club des ECO Business Angels).
Votre réactivité me bluffe un peu (beaucoup, passionnément...!), que dire de plus ?

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